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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 16:20

Le site du JDD publie aujourd'hui un article plus fouillé sur "l'affaire des timbres" qu'un livre de Martin Hirsh a fait éclater en éclaboussant Gérard Longuet.

"De quoi s’agit-il?", dit le JDD, "Des dotations en timbres rares réservées aux ministres des Postes, aux présidents de la République et à quelques hauts fonctionnaires, qui, pendant des années, ont reçu sous cette forme un peu particulière de confortables primes."

Quelques noms sont cités.

Notamment ceux des personnalités qui ont refusé ce cadeau ou qui en ont fait don à un musée.

D'autres curieusement passés sous silence.

Ce devrait pourtant être facile à découvrir.

 

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26 septembre 2010 7 26 /09 /septembre /2010 10:05

Dans la même intervention, Ségo affirme: "La lutte contre le terrorisme est une action sérieuse et discrète"

"S'il y a des choses graves qui se préparent, la moindre des choses serait d'en informer l'opposition".

Croit-elle donc que la majorité soit au courant? Et qui? Les parlementaires? Les membres de l'UMP, du Parti Radical et du Nouveau Centre? Leurs familles, leurs amis?

Ensuite, si la discrétion et indispensable, en informer une commission quelconque dont les membres risquent d'en parler "sous le sceau du secret" à quelques centaines de personnes (députés et sénateurs), n'est peut-être pas le bon moyen de rester discret.

Lequel des parlementaires ne sera pas ensuite tenté de vendre la mèche sur les actions des "services", histoire de se faire mousser devant les journalistes?

Lequel des parlementaires n'en parlera pas "confidentiellement" à sa famille ou à ses amis?

Bonjour la discrétion!

Adieu le sérieux!

 

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 17:51

C'est une drôle de pratique que révèle Martin Hirsch dans son dernier livre Pour en finir avec les conflits d'intérêts. L'ex-Haut commissaire aux solidarités actives explique en effet que pendant des années le président de la République, le premier ministre, les ministres des postes et des hauts fonctionnaires recevaient des épreuves de luxe de nouveaux timbres, très rares et donc très prisés des collectionneurs. Certains avaient pour habitude de les revendre, se constituant alors de confortables primes.

Il évoque le cas d'un homme politique dont il avait eu à examiner le cas dans le cadre de ses fonctions au sein de la commission pour la transparence financière de la vie politique.
Apparaissait dans son patrimoine "une maison dans le sud de la France", dont l'intéressé expliquait qu'il avait pu la financer "en grande partie" par "la vente de timbres". Interrogé plus avant, il expliquait alors que ces timbres "lui avaient été offerts pendant son mandat" et que les ventes réalisées "se chiffraient à plusieurs centaines de milliers de francs".

Aujourd'hui, il revoit ses aveux à la baisse et, s'il reconnaît avoir bénéficié de la dotation en question, il avance que la revente de ces timbres rapportait "l'équivalent de 1 000 euros par mois". (Pas mal quand même!)

Martin Hirsch "maintient l'essentiel de ses écrits". "Je viens d'adresser une lettre à Gérard Longuet dans laquelle je lui rappelle ce qu'il avait déclaré à la commission", ajoute-t-il.

Gérard Longuet est président du groupe UMP au Sénat.

Avis aux sénateurs UMP: "Dis-moi qui te préside, je te dirai qui tu es".

(source: JDD).

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25 septembre 2010 6 25 /09 /septembre /2010 09:47

Combien de fois n'avons-nous pas lu ou entendu cette phrase dans les médias: "Le président a demandé une enquête"?

Un prisonnier s'évade? "Le président a demandé une enquête"

Une magouille est découverte dans un service public? "Le président a demandé une enquête".

Un avion s'écrase? "Le président a demandé une enquête".

Les opérateurs téléphoniques plument les accros du portable? "Le président a demandé une enquête."

Les maladies nosocomiales frappent un hôpital? "Le président a demandé une enquête".

Les banques facturent des frais exagérés? "Le président a demandé une enquête".

Une digue se rompt et l'eau s'engouffre dans un camping? "Le président a demandé une enquête".

Une bavure policière fait un mort? "Le président a demandé une enquête".

Un hold-up a mal tourné et un passant a reçu une balle perdue? "Le président a demandé une enquête".

Une fuite radio-active est découverte dans une centrale d'EDF? "Le président a demandé une enquête".

Un collégien a reçu des coups de couteau dans une banlieue difficile? "Le président a demandé une enquête".

Etc etc etc.

J'écris "le président", j'aurais pu écrire "le ministre", "le directeur", "le PDG" ou n"importe quelle excellence qui, en haut de la pyramide est, en dernier ressort, responsable de la chose et quelque fois coupable.

A croire que si on ne leur disait rien, les "enquêteurs" se tourneraient les pouces.

Ou qu'en "demandant une enquête", autre manière de dire que la faute a été commise derrière son dos et en contradiction avec ses instructions, le "président" se dégage de toute responsabilité.

A moins que le boulot du "président" ne consiste principalement a enfoncer des portes ouvertes et à le faire savoir à la presse.

 

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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 19:02

Je parle du recul de l'âge de départ à la retraite de deux ans selon le principe que deux ans de plus de travail donc de cotisations permettront de combler le déficit (un dixième du total des pensions n'est pas couvert par les cotisations, dit la présidente de la CNAV);

Or, la majorité des sexagénaires ne travaille pas (ou plus) depuis l'âge de cinquante-sept ans.

Rallonger le temps de "travail" de deux ans, c'est diminuer le temps de retraite de deux ans. Pour quelqu'un qui espère vivre jusqu'à quatre-vingts ans, deux ans représentent dix pour cent du total des pensions qu'il peut percevoir.

Les voilà les dix pour cent qui manquent!

Ce n'est donc pas le total des cotisations qu'on va augmenter, c'est le total des pensions qu'on va réduire.

Et bonjour chez vous!

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23 septembre 2010 4 23 /09 /septembre /2010 08:39

La retraite par répartition, ça ne marche plus et ça ne va faire qu'empirer.

Il faut trouver une solution.

Il y a ceux (les organisateurs) qui veulent sauver le système en faisant "payer les riches" sans garantir que ces riches-là bénéficieront de la répartition des cotisations qu'on leur imposera. Abandon du sacro-saint principe de répartition "kelemondantiénouzenvi" (déjà mort dans les faits).

Et ceux (la police) qui veulent répartir les cotisations de ceux qu'ils envisagent de condamner à deux ans de travaux forcés. Ceux qui ne seront pas encore morts ou lourdement handicapés, bien sûr. Ou tout bêtement au chômage.

Tout ça à cause de l'allongement de l'espérance de vie. Espérance qui se réduira en obligeant des sexagénaires à rester au turbin (au chagrin comme on le disait il  y quelques décennies)

Personne n'a donc songé à imposer ces deux années supplémentaires de boulot à ceux qui, mauvais Français, n'ont pas eu assez d'élégance et de sens de l'intérêt général pour mourir quand on le leur suggère, au moment où ils dépassent le terme que les statistiques leur accordent? Après quatre-vingts ans, pour dire un chiffre?

Tant qu'à trouver des solutions imbéciles. Celle-là en vaut une autre.

Pour savoir ce qu'on va décider, on va compter les manifestants. Ce qui, vous en conviendrez, est une méthode au moins aussi démocratique que le traditionnel "pile, je gagne, face, tu perds".

Question subsidiaire pour départager les ex-aequo: le monde est-il devenu fou ou est-il resté bête?


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22 septembre 2010 3 22 /09 /septembre /2010 12:01

Mes lecteurs m'ont fait la grâce de rire en lisant mon précédent article.

Ils ont eu tort!

Imaginez qu'au lieu d'avoir EDF Bleu Ciel (Bleu Ciel!) au bout du fil, j'aie eu le centre de secours départemental.

Il faut savoir que, maintenant, quand vous appelez les pompiers, les gendarmes ou le SAMU, vous ne tombez pas sur la caserne voisine ou le médecin le plus proche mais sur un centre de secours départemental qui centralise les appels et alerte justement la caserne la plus proche ou le médecin voisin. Il paraît que c'est plus rapide.

Imaginez (heureusement ce n'est pas encore le cas!) que ce centre départemental ait été "modernisé" et dispose aussi dans son ordinateur d'un programme répertoriant les adresses "normées" et -comme mon interlocuteur d'hier- uniquement celles-là.

Voici ce que ça pourrait donner:

- Allo! Il y a le feu chez moi (ou "Mon mari fait un infarctus" ou "Il y a quelqu'un en train de fracturer ma porte").

- Restez calme! On vous envoie les secours. Où habitez-vous?!

- A Ploucville, lieu-dit "Trucmuche"

- Je ne vous trouve pas sur mon écran.

- Dépêchez-vous!

- Je ne peux rien faire, votre adresse n'est pas normée. Il me faut un nom de rue et un numéro ... Allo! ... Allo? ... Allo? Le nom de la rue et le numéro, s'il vous plaît. Allo! ... Allo! ... Allo! ... Allo! ... Allo! Le nom de la rue et le numéro! Allo! ... Allo! ... Allo! ........ Allo!

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21 septembre 2010 2 21 /09 /septembre /2010 18:04

Ce matin sur France-Inter on parlait d'un prochain rapport de la Cour des Compte qui épinglait une nouvelle fois (!) le comité d'entreprise d'EDF. Allez donc sur internet pour voir ce qu'on reproche à ce CE et à la CGT qui le gère. C'est gratiné, ça va du mode de financement "spécial" (pourcentage non pas de la masse salariale mais du chiffre d'affaires d'EDF!), aux avantages très substantiels qu'il réserve aux électriciens (estimés à un mois supplémentaire de salaire pas vraiment imposable), au personnel pléthorique en constante augmentation etc. Le sujet se conclut sur deux affirmations: la parano de la CGT qui voit dans les "fuites" provenant de ce rapport, un coup bas au moment de la réforme des retraites et le commentaire du journaliste qui suggère que ce rapport, comme les précédents, ne sera pas suivi d'effets, tous les pouvoirs s'étant jusqu'ici refusé à s'attaquer au fromage de la CGT en espérant qu'en échange ... Tu m'as compris, tu m'as!

Pourquoi je vous parle de ça? Parce qu'un type d'EDF m'a appelé. Pourquoi? Pour me demander mon adresse. Je précise que j'habite depuis des années en pleine campagne, un lieu-dit, un "écart" comme on dit par ici, auquel on accède par un chemin de terre partant de la sortie du village et qui fut goudronné il y a fort longtemps et que les gens qui y habitaient avant moi aussi loin qu'on remonte dans le temps ont toujours reçu leur courrier à leur adresse composée:

a) du nom du lieu-dit;

b) du code postal et du nom de la commune dont il dépend.

Ça a donné a peu près ça:

Le type: - Bonjour Monsieur, ici EDF Bleu Ciel, je voudrais connaître votre adresse exacte pour vous envoyer vos factures.

Un peu étonné et craignant avoir au bout du fil un "marketeur direct" voulant me vendre un "diagnostic gratuit", je donne quand même l'adresse en épelant soigneusement.

Le type - Il me faut un nom de rue et un numéro.

Moi (expliquant ce que je vous ai expliqué plus haut): C'est un lieu-dit, il n'y a pas de nom de rue, encore moins de numéro. Mais ne vous inquiétez pas, mon courrier me parvient toujours et le releveur de compteurs m'a toujours trouvé.

Le type (pas découragé) - Il me faut une adresse normée.

Moi: - Et c'est quoi une adresse "normée"?

Le type: - C'est une adresse avec un nom de rue et un numéro.

Moi: - Mais puisque je vous dis que je n'habite pas une rue mais un lieu-dit.

Le type: - Je ne peux pas vous entrer dans mon ordinateur sans une rue et un numéro.

Moi: Mais beaucoup des fermes de la région, j'habite en Beauce, ont des adresses du même genre: elles sont situées au milieu des champs et elles reçoivent quand même leur courrier.

Le type (commençant à s'énerver): - Moi, Monsieur, je suis dans la Somme et je peux vous assurer que les adresses comportent un nom de rue et un numéro (il ne m'a pas traité de bouseux, de plouc ou de cul-terreux mais j'ai bien senti que l'envie l'en démangeait).

-Moi (commençant à rigoler): - Eh bien je peux vous dire que j'ai eu récemment au téléphone deux de vos collègues dont l'un m'appelait de Toulon et l'autre de la Mayenne et qui avaient un ordinateur qui acceptait mon adresse actuelle.

Le type: - C'est normal on est centralisés (Moi?)

Moi: - Bon, alors on fait quoi? Vous avez mon adresse exacte et je ne peux pas inventer une rue qui n'existe pas.

Le type (toujours légèrement énervé): -  Votre adresse n'est pas normée. Elle ne figure pas dans les pages jaunes.

Moi (toujours rigolard): C'est normal, je ne suis pas un professionnel. Mais je figure dans les pages blanches avec comme adresse le nom de mon lieu-dit.

Le type: - Non, vous n'êtes pas dans les pages blanches non plus.

Moi (de plus en plus rigolard): Vous vous êtes fait avoir, on vous a refilé un annuaire incomplet. Dans le mien, j'y suis.

Le type (se contenant): - Il y a deux rues dans votre commune (il s'agit de deux routes qui se coupent à angle droit), je mets laquelle?

Moi: Aucune, je n'habite dans aucune de ces deux rues qui sont dans le village et donc très loin de chez moi.

Le type: - Il m'en faut une, sinon vous ne recevrez pas vos factures.

Moi (de guerre lasse): Mettez n'importe laquelle, je préviendrai le facteur. De toutes façons, ce n'est pas grave, j'ai demandé le prélèvement automatique.

Le type: - Ah bon! Attendez que je vérifie ......... C'est exact. Voilà c'est réglé.

Moi: - Voilà une histoire que je mettrai sur mon blog.

Voilà qui est fait.

Pensez un peu au nombre de personnes impliquées dans cette affaire, depuis le PDG qui modernise, jusqu'au bonhomme qui m'a appelé pour avoir une adresse "normée" en passant par les informaticiens, les nombreux directeurs, chefs et sous-chefs dont chacun porte une part de responsabilité.

Et pensez que c'est la même boîte qui construit et gère des centrales nucléaires.

Vous rigolez moins, maintenant.

 

 

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20 septembre 2010 1 20 /09 /septembre /2010 20:11

Onze grandes banques françaises (la vôtre très probablement) ont été sanctionnées pour entente illégale sur le montant des frais qu'ils imposent à leurs clients.

Voilà des gens qui sont la crème du dessus du panier de l'élite du libéralisme, toujours prêts à vanter les charmes indispensables de la concurrence, fondement de la liberté du consommateur et outil de fixation du juste prix et qui, dans leur pratique, s'entendent en secret pour violer les principes qu'ils prônent!

Un peu comme un curé pédophile qui aurait toujours à la bouche ce mot de l'Evangile: "Laissez venir à moi les petits enfants".

Cela leur a valu une amende de 385 millions d'euros, la moitié du bénéfice que leurs pratiques douteuses leur ont fait gagner.

Pas de panique! Ils vont sans doute récupérer l'amende sur le dos des clients avec une politique commerciale aussi peu transparente et un peu plus agressive.

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14 septembre 2010 2 14 /09 /septembre /2010 09:19

La Sofres a réalisé un sondage sur les préoccupations des Français pour le quotidien La Croix et Covea Finance, une société de gestion de fonds de mutuelles d'assurances (Dieu seul sait pourquoi, plus que d'autres, les gestionnaires de Sicav, d'OPVCM et autres fonds communs de placements ont besoin de connaître l'évolution des préoccupations des Français!).

Ce sondage a été fait "en face à face" auprès d'un échantillon représentatif de la population. En fait, cet échantillon est surtout représentatif des gens qui acceptent de répondre à un sondage. Ceux qui sont passés par là savent de quoi je parle.

Les sondés devaient indiquer ce qui les préoccupait "personnellement le plus".

Médaille d'or : le chômage et l'emploi

Médaille d'argent: le financement des retraites

Médaille de bronze la qualité des soins

Viennent ensuite le pouvoir d'achat, l'école et en sixième et septième position deux autres sujets dont on ne parle pas dans la dépêche de l'AFP que j'ai lue (et reprise hier sur France-Inter). Tant pis pour ceux que ça préoccupait "personnellement le plus"! Ils peuvent crever. Leurs réponses n'intéressent pas les commentateurs.

En revanche, ce qui les intéresse, c'est que le financement des retraites prouve que le gouvernement a réussi à faire accepter le principe d'une réforme (la droite se félicite) ou que la sécurité n'arrive qu'en huitième position dans l'ordre des préoccupations des Français. Une pierre dans le jardin de Sarko! (la gauche rigole).

Ce sondage a toutes les apparences du sérieux: la méthode est éprouvée et les chiffres sont précis.

Et pourtant ...

Demander à quelqu'un ce qui le "préoccupe le plus" revient à lui demander de faire un classement, de hiérarchiser ses "préoccupations". Son âge ou sa catégorie socio-professionnelle, pour ne citer que ces exemples, influeront sur sa réponse. C'est ainsi que l'on n'est pas étonné d'apprendre que les jeunes sont en majorité moins préoccupés "personnellement le plus" par leur retraite ou la qualité des soins qu'un quinquagénaire qui compte ses trimestres et qui a des soucis de santé ou qu'un fonctionnaire titulaire sera moins préoccupé par le chômage qu'un intérimaire.

C'est cette hiérarchisation qui constitue l'erreur fondamentale.

Car en réalité, les réponses que l'on obtient des sondés ne sont pas une hiérarchie des préoccupations mais une estimation des probabilités d'être concerné par un des soucis dont on leur propose la liste.

Pour dire les choses autrement, moins on risque d'être touché, moins on se préoccupe. Ce qui ne signifie pas que l'on considère que la catastrophe qui ne vous "préoccupe pas le plus" soit moins grave que celle que vous avez citée en premier.

Simplement que vous pensez que vous avez plus de chances de perdre votre emploi que d'être victime d'un viol en faisant votre jogging ou que vous estimez que le risque de mourir d'une maladie nosocomiale après une opération bénigne vous semble plus faible que celui d'être au chômage.

Manipulés, les sondages?  Quelquefois, ce sont les sondages eux-mêmes qui sont des manipulations.

Mais l'essentiel n'était-il pas que la sécurité n'arrive qu'en huitième position dans les préoccupations des Français ou que les retraites soient un problème dont le gouvernement a raison de s'occuper?

 

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(Henri Jeanson)

Métaphore maritime

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