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5 juillet 2009 7 05 /07 /juillet /2009 11:18
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Les ampoules à incandescence sont, nous dit-on, peu économiques et partant peu écologiques. Voire.

La majeure partie de l'énergie qu'elles consomment n'est pas utilisée pour l'éclairage mais ne fait que produire de la chaleur. Mais cette chaleur n'est pas perdue puisqu'elle est produite à l'intérieur.

Oui,mais en été, on n'a pas besoin de chaleur supplémentaire. Justement en été où les nuits sont plus courtes, on éclaire moins longtemps.

Les ampoules à incandescence consomment plus que les ampoules "basse consommation". Mais elles consomment moins longtemps puisqu'il est recommandé d'éviter d' allumer et d'éteindre trop souvent les nouvelles ampoules même quand on quitte une pièce car cela réduit leur durée de vie.

Le prix plus élevé des ampoules basse consommation est compensé par leur durée de vie plus longue. Voir l'objection précédente: les ampoules basse consommation sont allumées -et donc consomment- plus longtemps.

En consommant moins d'énergie, on protège l'environnement. Mais les nouvelles ampoules utilisent des composants polluants qui nécessitent un retraitement onéreux et, puisqu'elles doivent être déposées dans des réceptacles spéciaux, il n'est pas certain que la majorité d'entre elles ne passera pas dans les déchets ménagers.

Et enfin, il m'est tombé sous les yeux une recommandation pour l'utilisation de ces ampoules: elles ne doivent pas être situées trop près de l'utilisateur. Elles sont donc déconseillées pour les lampes de chevet, de bureau, de lecture et d'une manière générale dans les chambres d'enfants.

Des arguments qui s'équilibrent. Les deux types d'ampoules ont leurs avantages et dans certains cas, les unes sont meilleures que les autres. Il semblerait logique de laisser le choix aux consommateurs.

Le choix? Vous rêvez? Qui c'est qui commande ici? On est en Europe, nom de d'la! Les lobbies nous ont tout bien "expliqué". Et puis ça va créer des emplois qui compenseront les licenciements dans les entreprises qui fabriquent des ampoules à incandescence.

Voilà qui va consoler les salariés d'OSRAM!

Et bonjour chez vous!


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4 juillet 2009 6 04 /07 /juillet /2009 11:15
Pendant qu'on nous fait trier nos poubelles, qu'on nous demande de réduire notre vitesse, qu'on nous fait acheter des ampoules "basse consommation", qu'on nous émeut sur les baleines, les orang-outans et les forêts primaires, pendant qu'on nous culpabilise sur la fonte des glaciers ou qu'on nous inquiète sur les ressources d'eau potable, qu'on nous affole sur le réchauffement climatique, qu'on nous annonce la crise alimentaire pour bientôt,
l
es mêmes
(ceux qui vont se réunir à Copenhague)
- continuent de ne rien faire pour interdire les Grands Prix de Formule 1 et les rallyes vroum-vroum
- fabriquent, vendent et utilisent des "produits de beauté" au blanc de baleine (la graisse de ces cétacés)
- défrichent les forêts pour y semer du soja transgénique et des palmiers à huile
- veulent relancer l'industrie automobile
- cherchent de nouveaux gisements de pétrole
- construisent des centrales thermiques
- n'ont pas encore jeté Claude Allègre de l'Académie des Sciences
- se réjouissent que le "passage du Nord-Ouest" soit bientôt libre de glace
- ne savent pas quoi faire des déchets ultimes des centrales nucléaires
- négocient des "droits à polluer"
Etc. etc. etc.


Alors, je le répète: LÂCHEZ-MOI LA GRAPPE ET METTEZ-VOUS AU BOULOT!

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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 12:29
C'est pourquoi j'y comprends rien ... mais j'explique quand même.
La BRI (banque des Règlements Internationaux) souhaite que dès que les risques de reprise économique seront perceptibles, les états mettent un terme aux plans de relance dont "les effets inflationnistes pourraient perturber les marchés de la dette souveraine". Traduction: certains pays pourraient ne pas être aussi solvables qu'on pourrait l'espérer et les débiteurs pourraient avoir des soucis à se faire quant à la valeur réelle de leurs titres d'emprunt émis par les états. Rien d'urgent, pour l'instant les économistes redoutent plutôt la déflation.

En attendant, la BRI, toujours elle, a estimé que le secteur bancaire devrait d'abord être réparé et voudrait le "forcer  à encaisser des pertes" ("encaisser des pertes"! c'est joliment dit) et à se débarrasser de ses actifs toxiques.

Et où on va les mettre ces actifs toxiques? Je vous le demande.
A la décharge? A moins qu'on trouve un pigeon pour les racheter?
J'aimerais connaître son adresse, j'aurai un paquet d'actions des tramways de Venise à fourguer dès que j'aurai fini de les dessiner.
Je crois plutôt qu'on va créer des structures du genre du CDR qui a récupéré les actifs-passifs du Crédit Lyonnais ce qui signifie plus probablement, qu'on va demander aux contribuables de mettre la main à la poche pour combler le trou.
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1 juillet 2009 3 01 /07 /juillet /2009 10:29
Je suis toujours surpris quand,  dès la dernière semaine de juin, j'entends les journalistes ou les chroniqueurs de la radio ou de la télé me souhaiter de bonnes vacances et espérer me retrouver à la rentrée de septembre.
Ils vont être remplacés, certes, ou plutôt il y aura toujours des images sur les écrans et la radio ne sera pas muette.
Mais je sais que l'information sera en sommeil (que de reportages sur les plages et les vacances à la ferme en perspective!). Je sais aussi qu'on va passer plus de disques, qu'il va y avoir des jeux idiots et des rediffusions (rebaptisées best-of pour faire plus "tendance").
Service public ou chaînes privées, tous aux bains de mer!


Quant à moi, je reste fidèle au poste.



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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 19:31
Sarko a affirmé que "la burqa n'était pas la bienvenue en France". Il a aussitôt modéré ses propos en soulignant que "Dans la république, la religion musulmane doit être autant respectée que les autres religions". "La burqa n'est pas un signe religieux, c'est un signe d'asservissement", a-t-il ajouté.

Il est retombé dans son erreur coutumière sous prétexte de tolérance républicaine et en utilisant un argument accessoire (l'asservissement des femmes) pour ne pas aborder le principal (la dimension politique de la burqa) et risquer de se faire accuser d'islamophobie. A moins que ce ne soit une nouvelle reculade. Ça y ressemble.

Dans le même temps de bonnes âmes prêchaient pour qu'on ne s'attaque pas à la burqa en avançant des arguments tournant autour de la nécessité d'intégration et de l'apprentissage du français (comme Cécile Duflot des Verts).

La proclamation du chef d'Al Qaïda au Maghreb Islamique est venue doucher leur angélisme. En appelant à la "vengeance" contre la France qu'il accuse de vouloir empêcher la pratique de l'islam, le bonhomme est clair. Son islam est total et donc totalitaire. Ses partisans doivent suivre la charia et la burqa n'est qu'un des préceptes que, d'après lui, elle impose.

Plus qu'une coutume vestimentaire, qu'un "manque d'intégration" ou de moeurs sexuelles médiévales, la burqa (qu'elle soit imposéé, acceptée ou voulue par les femmes) se proclame, de l'aveu même de ceux qui la défendent comme un signe d'appartenance  à un groupe à la fois, culturel, religieux et politique donc, je le répète, totalitaire (sans parler de ses liens avec le terrorisme islamique) qui affirme son refus de notre République.

Il reste à attendre pour savoir quelle forme prendra cette "vengeance".


Je conseille aux surfeurs émérites de visiter les sites et les blogs islamistes. Ce ne sera pas du temps perdu.





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30 juin 2009 2 30 /06 /juin /2009 11:54
L'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments vient d'affirmer l'inocuité du MO 810, le maïs génétiquement modifié de Monsanto conçu pour résister à la pyrale et de valider le NK603 (Round Up Ready2) qui résiste aux herbicides et en particulier au ... Round Up fabriqué par Monsanto.

Monsanto vient d'indiquer que cet avis "va contraindre la Commission Européenne à renouveler la licence d'exploitation" de ses maïs magiques et éminemment rentables pour elle.

"Contraindre". C'est le mot. Quand on sait la puissance du lobbying de Monsanto et la vigueur des méthodes que cette supranationale emploie, on peut avoir des craintes. Pour résister à ce genre de contrainte, il faut être à la fois très honnête et très courageux.

Certes, la France et d'autres pays européens interdisent encore les produits Monsanto au nom du principe de précaution mais pour combien de temps encore?

Les consommateurs européens sont majoritairement contre des produits qui "supportent les herbicides". On les comprend: ils ne sont pas certains de les supporter eux-mêmes, surtout après avoir lu la notice d'utilisation du Round Up. Ils n'aiment pas non plus les maïs qui résistent aux papillons et dont ils ne sont pas certains qu'ils ne tuent pas aussi d'autres insectes. Des amateurs de miel rétrogrades sans doute. Et ils se méfient de la contamination des cultures traditionnelles par les OGM et des nappes phréatiques par les engrais et les pesticides.

Et, d'une manière générale, ils n'aiment pas Monsanto. C'est pourquoi, on ne leur demande pas leur avis sur l'utilisation des produits de ce bienfaiteur de l'humanité.. Déjà qu'on les a autorisés à voter pour les européennes! Ça suffit comme ça.

A l'annonce de l'avis de l'Autorité Européenne de Sécurité des Aliments, l'action Monsanto a réalisé la performance indiquée dans le titre du présent article.

Vous me direz: "1,46%, ce n'est pas beaucoup". Notez que ce gain a été réalisé en une seule journée et demandez-vous combien vous rapporte votre livret A en un an.



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29 juin 2009 1 29 /06 /juin /2009 11:40
La France est fauchée. Mal gérée depuis de décennies, accumulant, comme le dit Fillon, les "déficits structurels", elle vient de s'apercevoir qu'il devient de plus en plus difficile de faire illusion non seulement auprès de la communauté internationale mais vis-à-vis de sa propre population. Elle n'a plus un rond. Il faut bien le reconnaître. Pire, elle a des dettes qui commencent à faire douter de sa solvabilité ou du moins de son redressement. Et Sarko (Que Ganesh l'évente de ses oreilles car la canicule menace!) est bien obligé de l'avouer: "Les caisses sont vides".

Dans d'autres pays, cet endettement serait peut-être supportable. Les ressources naturelles ou la saine gestion de l'économie pourraient y laisser espérer un redressement après la crise (!!!). Pas en France où la priorité a toujours été donnée au gaspillage.

Alors, il faut trouver des sous. Des gros. Et calmer un peu l'inquiétude et peut-être le début d'une contestation dans l'électorat UMP.

La solution: un emprunt public attrayant pour l'épargnant et impliquant pour l'électeur. Attrayant, on va s'y employer. Au détriment sans doute de ceux qui ne pourront pas souscrire et qui devront quand même rembourser et payer les avantages offerts aux souscripteurs. Impliquant car ces mêmes souscripteurs ne pourront plus souhaiter l'échec de la politique gouvernementale. Au contraire! Qui serait assez fou pour souhaiter la faillite de son débiteur?

Et c'est ici qu'on entre dans l'absurde: on ne fait pas des projets qu'on envisage de financer par l'emprunt, non! On lance un emprunt et après on se demande ce qu'on va bien pouvoir faire avec les sommes recueillies. Encore des "réunions de concertation" en perspective et des saupoudrages auxquels il faudra consentir pour assurer la paix sociale et garantir des réélections futures!

Bon. Le pognon on va l'avoir. Du moins, on l'espère. Au besoin on complètera sur les marchés financiers pour qui le fait que les Français ont encore un reste de confiance dans l'Etat sera un argument en faveur de la rentabilité de la chose.

Il reste à espérer que les Français qui refusent cet emprunt ne seront pas obligés d'y souscrire par la bande, c'est à dire par leur banque, leur caisse de retraite ou leur compagnie d'assurance.

Car ce qui fait douter du succès de l'opération, c'est qu'avant même que l'on en connaisse les détails et qu'on émette des critiques, Fillon (tant pis pour lui s'il transpire, Ganesh est occupé ailleurs!) nous assure que l'argent sera affecté à "des investisements d'avenir" et non pas à un "nouveau plan de relance". Moi, je me dis que la relance serait déjà un moindre mal quand j'entends ce que la presse donne comme exemple d'investissement d'avenir. A part la croissance verte qui n'est citée que pour faire joli dans le tableau, on parle, entre autres choss, de "rénovation des prisons" et par voie de conséquence de marchés publics pour les entreprises du BTP.

Des prisons rénovées, voilà l'avenir qu'on nous promet et dans lequel on va investir.

Mais, rassurons-nous, il y a de grandes chances pour que tout ça se termine en eau de boudin car ceux qui veulent nous sortir de la crise sont ceux qui nous y ont plongés. Pourquoi réussiraient-ils demain là où ils ont échoué hier? Pourquoi auraient-ils subitement le courage et l'intelligence politiques qui leur ont manqué jusqu'ici?

Quand je vois Fillon, j'entends Bourvil: "L'alcool, non! Mais l'eau ferrugineuse, oui!".


 





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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 18:15
La retraite fait beaucoup causer dans les médias après les récentes déclarations ministérielles sur le report à soixante-dix ans de l'âge du départ en retraite. L'opposition s'indigne et les arguments volent bas pendant qu'en haut lieu on nous dit que, si on continue comme ça, on va droit dans le mur.
Alors, je le dis tout net: "on" nous prend pour des imbéciles et "on" a bien raison si j'en juge par le niveau de la polémique. D'où je conclus que le "ON" en question est très fort.

Préalable: on parle (et donc JE parlerai) de la retraite (du régime général) dite "par répartition" et non des retraites "des régimes spéciaux" et encore moins des retraites par capitalisation pour lesquelles -en principe- on ne perçoit qu'en fonction de ce qu'on a cotisé quoique l'âge de la retraite influe aussi sur le montant des pensions et que, pour la plupart des retraites complémentaires, le versement de ladite pension soit soumis à la perception de la retraite de la sécu.

Pour employer une expression de la langue de bois, "force est de constater qu'il faut raison garder" et voir ce que cache cette agitation médiatique.

Rappel. le système de la retraite par répartition est fondé sur un principe simple: les actifs paient pour les retraités. Vu comme ça, ça a l'air très intelligent et l'expression même de la solidarité. C'est idéal dans une société idéale et un monde idéal. Mais vous avez sans doute remarqué que ce n'est pas encore le cas de la société française ni celui du monde.
- La société française est frappée par le chômage: moins d'actifs, moins de cotisations;
- Les jeunes entrent plus tard sur le marché du travail quand ils parviennent à y entrer;
- La retraite à soixante ans multiplie les retraités précoces (sans parler des pré-retraités) et donc retraités plus longtemps;
- L'espérance de vie augmente: encore un allongement de la durée de la retraite.
- Etc.

La retraite par répartition est une fausse bonne idée dans la mesure où elle est fondée sur un système démographiquement stable ne tenant pas compte des évolutions ci-dessus évoquées: des retraités qui ont l'obligeance de mourir vite après la fin de leur carrière et des jeunes qui se mettent au boulot tôt et travaillent longtemps. Ce qui est de moins en moins le cas. On a cru (souvenez-vous de Michel Debré) trouver une solution à tous les problèmes (y compris celui de la retraite) dans une natalité "vigoureuse", un des aspects ou une des conditions d'application du dogme de la croissance ou dans une immigration abondante ce qui ne pose aucun problème puisqu'on a été obligé de créer un ministère pour s'en occuper! (ironie!).

Sur le papier, la retraite par répartition est un système idéal. En réalité (la réalité est indisciplinée) c'est une application de la "pyramide de Ponzi" qui a fait la fortune de Bernard Madoff avant de le conduire en prison et de ruiner les milliers de pigeons qui étaient à la base de cette pyramide.

Maintenant la caisse qui paie les retraites se vide plus vite qu'elle ne se remplit et on n'y peut rien. On pourrait, certes, augmenter les cotisations jusqu'à ce que la charge soit insupportable. D'où l'idée lumineuse de la "retraite à soixante-dix ans". Et tout le monde s'imagine les usines, les bureaux et les chantiers peuplés de septuagénaires bavochants. Et personne ne veut être obligé de travailler jusqu'à soixante-dix ans. Et donc on va se battre! Et surtout ne pas réfléchir.

Et c'est là qu'on se fait avoir. C'est à ce moment précis qu'on avale l'asticot, l'hameçon et la ligne.

Car dans l'esprit de ceux qui ont lançé cette idée, il n'est pas question de faire travailler tout le monde jusqu'à soixante-dix ans. Quelques-uns peut-être et très rares, qui cotiseront plus longtemps et ne profiteront pas beaucoup de leur retraite. Tout bénef! Mais des cas exceptionnels.

Non, la retraite à soixante-dix ans entraînera pour ceux qui voudront s'arrêter avant (ou qui seront bien obligés de le faire), une très importante réduction du montant des pensions. Et ce sera entièrement leur faute.
C'est ça l'idée. Génial, non?

Et on pourra alors rechanter cette chanson de Pierre Perret à propos d'une jouvencelle surnommée "Cuisse-de-mouche" dont "la taille est plus mince que la retraite des vieux".

Cela permettra d'attendre que l'espérance de vie diminue, ce que prévoient de plus en plus de démographes. Car, contrairement à ce qu'on nous raconte, il y aura de moins en moins de centenaires. Les vieillards actuels sont nés au début du siècle dernier avant la pollution, les pesticides et la chimie alimentaire. Les jeunes du XXIème siècle connaîtront plus que leurs aînés et plus tôt qu'eux les maladies cardio-vasculaires et les cancers qui étêteront la pyramide des âges. Pour le plus grand bien des caisses de retraite.


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27 juin 2009 6 27 /06 /juin /2009 08:32
J'ai entendu à la radio l'interview de cette dame chez qui un groupe de flics cagoulés et armés a débarqué en hurlant à six heures du matin. Elle raconte que les armes étaient braquées sur sa fille et elle alors qu'un bébé de quelques mois, terrorisé, hurlait dans la pièce à côté.

Les flics qui voulaient procéder à une arrestation s'étaient semble-t-il trompés d'étage, peut-être même d'immeuble et n'avaient pas eu, avant de se livrer à leur rodéo, l'idée de vérifier l'identité des occupants de l'appartement. C'est sans doute pourquoi ils ont fortement insisté pour faire dire à la dame l'endroit où se cachait le bonhomme qu'ils étaient prétendument venus cueillir.

Ils ont fini par reconnaître leur erreur et sont partis en laissant un numéro de téléphone où la dame pourrait obtenir des explications. Revenue de ses émotions, elle a téléphoné et a constaté que le numéro en question était celui du commissariat de ... Bastia où d'ailleurs elle n'a pas obtenu beaucoup d'explications. Des trucs du genre: "Tout le monde peut se tromper! On est désolés. Nos fonctionnaires savent rester de vrais professionnels, il ne faut pas dramatiser, ça ne s'est pas passé tout à fait comme ça etc etc." Parallèlement dans la presse locale, les autorités minimisent l'incident.

Pas contente, la dame a porté plainte. Il faut dire qu'elle n'est peut-être pas Corse et qu'elle ignore donc que ces réveils en fanfare sont une procédure fréquemment utilisée en Corse pour harceler et intimider les personnes suspectées de sympathies nationalistes (maison envahie au petit matin, armes braquées sur tous les occupants sortis du lit, enfants terrorisés, fouille etc).

Cela se sait mais ne se dit pas. C'est pourquoi, le T-shirt ci-dessus, trouvé dans un catalogue spécialisé, n'est pas destiné à faire rire les policiers quand ils font leur jogging mais à identifier les Petits Frères des Pauvres lorsqu'ils assistent le SAMU social dans ses maraudes.


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26 juin 2009 5 26 /06 /juin /2009 07:34
La presse s'interroge et nous incite à le faire avec elle: connaîtra-t-on enfin la vérité sur l'affaire des vedettes de Taïwan? Qui a versé et perçu les commissions et les rétro-commissions auxquelles elle a donné lieu? Je ne cite que pour mémoire les morts suspectes de certaines des personnes impliquées. Le secret-défense sera-t-il un jour levé?

Et sur l'attentat de Karachi, les enquêteurs parviendront-ils à savoir (et accepteront-ils de nous dire) pourquoi et au profit de qui des Français sont allés se faire assassiner à des milliers de kilomètres de chez eux?

"Bonnes questions", me direz-vous. J'en ai de meilleures encore.

"A combien vont se monter les commissions et autres rétrocommissions générées par les ventes que l'industrie française réalise actuellement (armement, aéronautique, énergie nucléaire etc)?"

Questions subsidiaires pour départager les ex-aequo: "Quelle prochaine campagne électorale sera financée avec ce pognon? Dans quel paradis fiscal le reliquat sera-t-il mis à l'abri pour assurer les vieux jours des négociateurs et l'établissement de leur progéniture? Qui laissera sa peau dans l'histoire".

Et bonjour chez vous!
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Présentation

  • : Le Huron, Pangloss et compagnie
  • : Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
  • Contact

Regardons les choses en face:

Au pays des aveugles, les borgnes sont rois.
Ceux qui ont leurs deux yeux sont regardés de travers.

Prudence!

"Si tu risques
de croiser quelqu'un
qui veut faire ton bonheur,
change de trottoir!"
(Henri Jeanson)

Métaphore maritime

Certes, nous sommes embarqués sur le Titanic mais il n'y a pas de quoi s'inquiéter: en cas de problème on nous transfèrera sur le radeau de la Méduse.

Si vous aimez ça

Copyright? Bof! Si ce que j'écris vous plaît, vous pouvez le recopier. Si vous êtes gentils, vous pourrez dire que j'en suis l'auteur. Sinon, je ne vous ferai pas un procès.