Interrogé sur le fait de savoir si l'Union européenne discutait d'une décote de la dette grecque de 50 à 60%, Jean-Claude Junker, chef de file des ministres européens des Finances, a répondu: "Nous discutons sur plus". (Le Parisien)
Sous le titre "L'Europe cherche à éviter une catastrophe bancaire", Le Monde nous informe que les Allemands exigent une décote de 50 %, contre 21 % selon le plan de sauvetage d'Athènes entériné le 21 juillet. Les Français dénoncent le risque de contagion qu'entraînerait une restructuration lourde de la dette grecque et ne veulent pas aller au-delà de 35 %.
Contrairement à ce qu'espéraient les Européens, "le spectre d'une décote pour les détenteurs d'obligations grecques et les risques de contagion qui l'accompagnent ne se sont pas envolés", constate Samarjit Shankar, analyste de Bank of New York-Mellon. (Romandie-info)
Petit rappel: il y a à peine cinq mois (18 mai), Jurgen Stark, membre du conseil d’administration de la BCE, affirmait que la restructuration de la dette grecque était une très mauvaise solution et que c'était "tout à fait la recette pour créer une catastrophe".(Euronews)
On attend pour très bientôt les prochaines mauvaises nouvelles.
Stockez des lentilles!
Et bonjour chez vous!
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