Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Les autorités nucléaires japonaises (et françaises) jouent la transparence en nous accablant de données techniques et de schémas pour nous persuader qu'ils maîtrisent la situation mais sans nous avouer le degré réel de gravité de la catastrophe. J'ai entendu ce matin (France-Culture) que le combustible était entré en fusion sur deux réacteurs au moins.
Cette "transparence" ressemble plus à celle d'un grillage aux mailles de plus en plus serrées qu'à celle du cristal.