Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Il est aujourd'hui quasiment certain que DSK ne pourra pas être candidat aux primaires du PS.
"Ce n'est pas grave", me direz-vous, "il y a encore pléthore de candidats, tous gens de qualité, d'expérience, socialistes bon teint et dévoués à l'intérêt public".
La primaire, c'était juste pour demander aux militants de faire le choix que le PS ne pouvait pas faire, tellement tous les candidats sont également intelligents, beaux, capables, instruits etc etc.
Et catastrophe! DSK est "out".
Et pourtant, rue de Solférino, il faut d'urgence se réunir, définir une stratégie et peser les chances de chacun. Il semble que ce soit un vrai problème.
Faut-il comprendre que les primaires n'étaient qu'une comédie montée pour intéresser les électeurs à la candidature socialiste de DSK?
Doit-on supposer que ceux qui ont eu cette idée se sont dit que ces primaires ouvertes ("Tout le monde peut voter", affirme le PS sur le site des primaires) allaient mobiliser au-delà des militants encartés, un grand nombre de citoyens simplement intéressés par la politique?
Et que, consciemment ou non, après avoir voté pour un socialiste aux primaires (en fait pour DSK au vu des sondages), ils répugneraient à se déjuger lors du premier tour de la présidentielle?
Je perds mes illusions,
Snif!