Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Pour enrayer la crise, on a débloqué, injecté, prêté, garanti, cautionné dans tous les sens et à coups de dizaine de milliards.
Les spéculateurs jonglaient avec les dettes, on leur en a donné jusqu'à saturation.
Maintenant le déficit est mondialisé. Tout le monde doit du pognon à tout le monde.
Le remboursement? Mais la croissance, bien sûr! (c'est ici qu'il faut rire, si, si).