Voilà-t-y pas qu'on entend dire que Cahuzac, démissionné par Pépère, pourrait retrouver son siège au Palais Bourbon. L'idée est révoltante, émétique et même éminemment purgative.
Il faut arrêter ce cirque tout de suite avant que cette affaire ne dégénère.
C'est pourquoi, avant que le Français moyen (et même le Français médiocre) ne s'énervent, j'exhorte Cahuzac à débarrasser le plancher dans les meilleurs délais et je lui renouvelle mon conseil: "Maintenant, ça suffit! Barre-toi, Cahu!".