La police française est critiquée pour son attitude à Strasbourg, la police anglaise pour sa brutalité à Londres.
Des vidéos ont montré à Strasbourg comme à Londres que "l'usage de la force" n'a pas toujours été exercé pour le maintien de l'ordre.
A Strasbourg, un manifestant à terre, matraqué par trois "ninjas", à Londres, un pépé qui meurt d'une crise cardiaque peu après avoir été jeté à terre par des bobbies (pour ne pas reparler des tirs tendus de grenades lacrymogènes à Bastia) sont des exemples préoccupants de l'attitude officielle des autorités vis-à-vis des manifestants (violents ou non). Il semble que l'on tolère que soient appliqués par la police, sans jugement et sur le champ des châtiments corporels dont on croyait la pratique révolue depuis des siècles.
Et même sans discernement: ceux qu'on attrape paient pour les autres. Et cher!
Se défendre est une chose, se venger en est une autre, exercer une brutalité gratuite sur des citoyens innocents ou même sur des délinquants n'est pas le rôle de fonctionnaires dont les représentants se justifient ensuite sur les plateaux de télévision en se gargarisant de "République" soutenus en cela par leur ministre de l'Intérieur.
Mais ce que j'en dis ...