Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
On a attribué la crise aux excès du capitalisme financier.
Pourtant, il ne se passe pas de jour sans qu'on nous annonce qu'on va encore injecter, prêter ou garantir quelques milliards pour financer la recapitalisation des banques qui se sont livrées à ces excès sans obtenir d'elles l'assurance qu'elles ne recommenceront pas à succomber à la tentation.