L'enquête dont est l'objet Julien Dray se poursuit. C'est ainsi qu'on apprend que sur sa seule carte "Centurion" (une carte de paiement dont, peigne-cul que je suis, j'ignorais jusqu'à l'existence), il aurait claqué en trois ans près de trois cent cinquante mille euros alors que ses revenus mensuels s'établissaient pour la même période à quinze mille euros. Vous trouverez dans la presse tous les détails, même celui-ci: Tracfin, la cellule anti-blanchiment du ministère des Finances n'a tenu compte que des " seuls flux supérieurs à cinq cents euros". On ne parle pas des paiements en liquide ou par chèques.
Ceux pour qui cinq cents euros représentent une somme rondelette qu'on ne dépense pas et qu'on ne gagne pas non plus tous les jours, apprécieront la discrétion de Tracfin.
Julien Dray envisage de porter plainte contre des organes de presse, des hébergeurs internet et des internautes dont les commentaires lui ont déplu.
Pas contre moi, quand même!