Une bague effacée mais bien réelle, des robes de grands couturiers, des sacs, des chaussures. Qui paye? Un riche "protecteur"? Pourquoi pas? Nos grands-parents (C'est une expression! Pas les miens, les pauvres!) entretenaient bien des danseuse. Pourquoi pas des ministres?
Mais il est plus vraisemblable que tous ces affutiaux soient "prêtés" (et rendus?) par les fabricants d'articles de luxe. A charge pour elle de se faire photographier avec. Publicité qui ne coûte pas cher et gratuitement (?) relayée par Paris-Match et les autres magazines qui n'omettent pas de préciser le nom du fabricant et -en ce qui concerne la bague- le prix..
Ce qui permet à Rachida de faire des économies de vêtements. Déjà qu'avec tous les déjeuners, petits déjeuners et dîners "de travail" elle ne doit avoir aucune influence sur le chiffre d'affaires de l'épicier du coin!
Ce qui devrait être un scandale n'est présenté par la presse (avec l'accord de la ministre, bien entendu!) que comme un privilège parfaitement en accord avec -sinon la morale républicaine- du moins l'air du temps.
Eh bien, je vais vous dire, l'air du temps, il pue!