8 décembre 2009
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18:36
Au deuxième jour du sommet de Copenhague, le secrétaire général de l'ONU, Ban Ki-Moon, se déclare "optimiste". Les déclarations et commentaires que la presse rapporte laissent cependant entendre que l'accord, si accord il y a, ne sera pas au niveau de ce qui est indispensable. Ni du point de vue des objectifs, ni de celui des procédures contraignantes, ni surtout de celui des profonds changement auxquels il sera nécessaire de procéder dans les modes de production et les comportements de consommation.
Si cela se vérifie, la catastrophe à court terme (deux ou trois décennies) que l'on craignait ne devient plus probable mais certaine.
L'optimisme de Ban Ki-Moon ressemble plus à ce que l'on dit au malade incurable quand on prévoit que ses jours sont comptés qu'à un cri de victoire. Comme l'a écrit Pierre Desproges: "Vivons heureux en attendant la mort".
Et bonjour chez vous!
Si cela se vérifie, la catastrophe à court terme (deux ou trois décennies) que l'on craignait ne devient plus probable mais certaine.
L'optimisme de Ban Ki-Moon ressemble plus à ce que l'on dit au malade incurable quand on prévoit que ses jours sont comptés qu'à un cri de victoire. Comme l'a écrit Pierre Desproges: "Vivons heureux en attendant la mort".
Et bonjour chez vous!