Le Louvre est devenu le terrain de chasse de jeunes pickpockets roumains dont l'activité a enregistré depuis le début de l'année "une croissance exponentielle". Se disant tous mineurs, ils s'attaquent aux gardiens qui veulent les expulser, font du scandale, fument et mangent dans les salles, créent des bousculades pour mieux exercer leur activité, narguent la police qui ne peut pas grand chose contre des mineurs de moins de treize ans. Les gardiens ont peur de les croiser dans la rue lorsqu'ils quittent le travail. Pour la première fois, nous dit LeMonde.fr, deux cents agents ont exercé leur droit de retrait.
Les syndicats "voient dans cette situation la conséquence des "sous-effectifs" du musée".
Bravo, les gars! Plus politiquement correct, c'est difficile.
Ce ne serait pas plutôt la conséquence de l'afflux incontrôlé de bandes organisées de la mafia roumaine formant et mettant "au travail" ces pickpockets?
On parie qu'en Seine-Saint-Denis où, selon la police, ils retournent leur journée de "travail" finie, ils bénéficient de la sollicitude d'associations?