2 mars 2009
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... est en baisse.
En Guadeloupe, le préfet qui appelait à la reprise du travail a été renvoyé à ses petites affaires par Elie Domota sur le thème "Nous n'avons pas d'ordre à recevoir de vous".
De plus, pour inciter les patrons guadeloupéens à signer les accords conclus à l'issue des dernières négociations, le LKP va faire une tournée "entreprise par entreprise". On imagine sans peine quelle sera la marge de manoeuvre des patrons devant "des offres qu'on ne peut pas refuser" comme on dit dans la saga du "Parrain".
Certes, les forces de l'ordre pourraient s'organiser pour assurer la sécurité des personnes qui vont faire face à cette entreprise d'intimidation explicitement annoncée. Mais leur seule présence serait utilisée comme argument par le LKP.
C'est pourquoi Michèle Alliot-Marie, pourtant ministre de la Police (et pas du Travail ou des Entreprises ou d'autre chose qui justifierait son intervention) et qui n'en rate pas une, a demandé au patronat de signer l'accord.
On ne saurait mieux dire: "On ne peut plus rien faire pour vous, alors on laisse tomber. Débrouillez-vous."
En Guadeloupe, le préfet qui appelait à la reprise du travail a été renvoyé à ses petites affaires par Elie Domota sur le thème "Nous n'avons pas d'ordre à recevoir de vous".
De plus, pour inciter les patrons guadeloupéens à signer les accords conclus à l'issue des dernières négociations, le LKP va faire une tournée "entreprise par entreprise". On imagine sans peine quelle sera la marge de manoeuvre des patrons devant "des offres qu'on ne peut pas refuser" comme on dit dans la saga du "Parrain".
Certes, les forces de l'ordre pourraient s'organiser pour assurer la sécurité des personnes qui vont faire face à cette entreprise d'intimidation explicitement annoncée. Mais leur seule présence serait utilisée comme argument par le LKP.
C'est pourquoi Michèle Alliot-Marie, pourtant ministre de la Police (et pas du Travail ou des Entreprises ou d'autre chose qui justifierait son intervention) et qui n'en rate pas une, a demandé au patronat de signer l'accord.
On ne saurait mieux dire: "On ne peut plus rien faire pour vous, alors on laisse tomber. Débrouillez-vous."