6 décembre 2008
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Vous vous souvenez de cet attentat contre un bus transportant des membres de la DCN française (Direction des Constructions Navales) qui construisaient un sous-marin au Pakistan?
L'enquête s'est enlisée comme toutes ces affaires de ventes d'armes dans des pays exotiques. Ni coupables, ni responsables, le pognon a disparu, passez muscade, secret-défense et bonjour chez vous! On a déjà vu un épisode de la série, tourné il y a plusieurs années à Taïwan. Une histoire fumeuse de rétro-commissions.
Et au Pakistan, c'était parti pour un remake aussi décevant. Et patatras! Voilà-t-y pas que l'on découvre par hasard un rapport secret établi par les "services" français dans lequel on apprend que les instigateurs de l'attentat auraient été des dirigeants pakistanais. Un secret bien gardé comme on voit.
Et pourquoi tant de haine? Parce que les autorités françaises qui auraient, lors de la signature du contrat, promis à ces dirigeants des "rétro-commissions" (en clair: dessous de table et pots de vin), n'auraient pas respecté leur parole, "la parole de la France", nous dit le journaliste. Si les corrupteurs ne paient pas les corrompus et gardent le pognon pour eux, ces derniers font sauter le bus. "Et pis c'est tout!"
Bien sûr, on rouvre l'enquête à la demande des avocats des victimes. Pourquoi riez-vous?
L'enquête s'est enlisée comme toutes ces affaires de ventes d'armes dans des pays exotiques. Ni coupables, ni responsables, le pognon a disparu, passez muscade, secret-défense et bonjour chez vous! On a déjà vu un épisode de la série, tourné il y a plusieurs années à Taïwan. Une histoire fumeuse de rétro-commissions.
Et au Pakistan, c'était parti pour un remake aussi décevant. Et patatras! Voilà-t-y pas que l'on découvre par hasard un rapport secret établi par les "services" français dans lequel on apprend que les instigateurs de l'attentat auraient été des dirigeants pakistanais. Un secret bien gardé comme on voit.
Et pourquoi tant de haine? Parce que les autorités françaises qui auraient, lors de la signature du contrat, promis à ces dirigeants des "rétro-commissions" (en clair: dessous de table et pots de vin), n'auraient pas respecté leur parole, "la parole de la France", nous dit le journaliste. Si les corrupteurs ne paient pas les corrompus et gardent le pognon pour eux, ces derniers font sauter le bus. "Et pis c'est tout!"
Bien sûr, on rouvre l'enquête à la demande des avocats des victimes. Pourquoi riez-vous?