Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Les commentateurs, les politologues, les analystes et autres spécialistes des plateaux télé saluent tout comme moi l'élan démocratique qui se fait jour dans les pays arabes.
En Egypte dont le dictateur servait de "rempart à l'islamisme" et de garant des accords de Camp David, cette mutation démocratique impliquerait de donner au peuple le droit à la parole.
Mais "Pas de panique!", nous dit-on. Il ne faut pas avoir peur de la libération du sentiment anti-israélien.
C'est sans doute pourquoi "Des inconnus ont fait exploser ce matin en Egypte un terminal gazier approvisionnant Israël près de la bande de Gaza" (AFP).
Un avertissement des pro-Moubarak qui veulent montrer ce qui se passerait en cas de chute du régime?
Une action des islamistes qui pensent qu'ils ont maintenant les mains libres?