Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Aujourd'hui, c'est dimanche. C'est repos. Je laisse le clavier à l'un de nos regrettés confrères, un de ceux qui n'avaient pas leur plume dans leur poche. J'ai nommé Octave Mirbeau.
Régalez-vous avec ce petit texte! C'est La grève des électeurs.