Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Aujourd'hui, aussi bien sur TF1 que sur France2, est passé un sujet sur les lacunes en français des étudiants. Orthographe indigente, absence de vocabulaire ("Apatride? Je ne sais même pas ce que ça veut dire!" répond sans rougir un étudiant à qui on demande l'orthographe de ce mot) amènent pourtant des bacheliers dans les facultés où certains enseignants sont obligés d'organiser des cours de rattrapage (des "ateliers", ça fait plus chic).
On ne saurait mieux mesurer l'échec de l'école, du collège et du lycée; et même celui d'un système où on distribue le bac à des gens qui n'auraient même pas eu le certif' il y a cinquante ans. Manifestement, ces "étudiants" ont parcouru toute la filière sans problème et on leur a même décerné un diplôme.
Ils ont croisé la route d'instituteurs et de professeurs, supervisés par des directeurs, des principaux, des proviseurs, des inspecteurs et quelques ministres qui, si on en juge par les résultats obtenus, n'ont pas mérité les sous qu'ils ont perçus.
Remboursez!