Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Avant-hier soir le fil téléphonique (Louis-Philippe d'époque) qui aboutissait à une boîte de connexion (Napoléon III tardif) fixée à un poteau (bois massif mais pourri) et qui me reliait au monde extérieur, s'est décroché, s'est coupé et donc m'a coupé du dit monde extérieur. Plus de téléphone et donc plus d'internet.
Ce matin, deux jeunes gens envoyés par Orange sont venus raccrocher le fil à la maison et au poteau. Malgré la plaque '"Danger Ne pas monter" apposée par le type qui il y a six mois était venu constater l'état du poteau, le plus léger des deux a appuyé son échelle sur le poteau et y est courageusement grimpé pendant que l'autre, le plus corpulent, "soulageait" l'échelle.
Le poteau reste pourri mais, puisqu'il est planté dans mon jardin, c'est à moi de m'organiser pour le faire remplacer à mes frais.
Des frais pour lesquels je ne suis pas chaud.
Espérons que le vent ne soufflera pas trop fort cet hiver.
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