Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
La DCRI (autrement dit le contre-espionnage) est accusée par Renault de fournir aux médias des éléments d'information qui "portent préjudice d'une façon générale à l'image de Renault". On est en droit de se demander en quoi l'enquête sur une affaire d'espionnage industriel présumé dans laquelle, il ne faut pas l'oublier, Renault est en position de victime peut nuire à "l'image" du constructeur automobile.
On en arrive à supposer qu'au-delà de ce qu'on reproche aux trois cadres mis en cause, les enquêteurs ont découvert au cours de leurs perquisitions dans les placards de Guyancourt, des choses qui n'auraient pas dû s'y trouver.
Pour en revenir à "l'image" de Renault, je dois, à titre tout à fait personnel, reconnaître qu'elle est plus affectée par chaque apparition publique du PDG que par cette sombre affaire.