Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Depuis qu'il est quelque chose sans pour autant être quelqu'un au groupe UMP de l'Assemblée, Christian Jacob se croit obligé de céder à la mode de ces petites phrases dont les journaleux sont si friands.
Il nous explique donc du haut de l'échelon sur lequel il vient de se hisser que "Le faible au PS, c'est Strauss-Kahn".
Il devrait plutôt, lui qui est bien placé pour ça, nous dire qui, à l'UMP, est "le faible".
Mais il se retient: Sarko risquerait de se vexer.