Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Relevé dans un article du blog d'Arnaud Leparmentier, journaliste au Monde, ces trois phrases (c'est en lisant la troisième qu'on peut ricaner):
"Nicolas Sarkozy a proposé ce vendredi soir au président italien Giorgio Napolitano de se rendre à Rome avec Angela Merkel dès la formation du nouveau gouvernement pour soutenir Mario Monti".
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"M. Sarkozy a proposé de prendre si nécessaire des contacts avec les responsables politiques italiens pour garantir à M. Monti la majorité nécessaire pour former un gouvernement durable".
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Et enfin:
"Après avoir poussé au départ de M. Berlusconi, le couple franco-allemand doit veiller à ne pas trop donner le sentiment qu'il s'immisce dans les affaires intérieures italiennes".
Une opinion fondée si l'on en juge par les réactions en Italie rapportées par LeMonde.fr:
- Massimo Polledri, député de la Ligue du nord, s'est insurgé contre "le directoire franco-allemand" qui s'apprête à "prendre le pouvoir".
-"Quelle humiliation de se faire commander par Sarko", (Il Giornale)
-"Sarkozy, s'il vous plait, restez chez vous", (Corriere della sera) qui évoque "le complexe de supériorité (non fondé)" de notre bien-aimé président (QLTLP!).
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* Allusion à la comédie de Molière.