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Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.

Encore une couche!

Les analystes les plus pessimistes craignent que les créances douteuses qui se trouvent dans les comptes des banques américaines n'acculent celles-ci à la banqueroute. En effet, certaines entreprises, parfaitement saines et même prospères avant la crise, auront, avec la baisse prévue de leur chiffre d'affaires, beaucoup de mal à rembourser l'argent qu'elles ont emprunté.

Pas de panique! Les besoins des banques ont été chiffrés: 2000 milliards de dollars. 
2000 milliards DE PLUS que les centaines déjà prévues dans la plan Paulson modifié Obama. Une paille!

En France, tout va bien et les entreprises payent rubis sur l'ongle. Et défense de rire!

Ces milliers de milliards seront empruntés sur le marché international par ceux à qui on prête facilement, ce qui n'est déjà pas le cas de la Grèce ou de l'Espagne. Vous achèteriez des bons du trésor grec, vous?

Comment seront-ils remboursés et par qui?

Ceux qui connaissent la bonne réponse peuvent m'écrire: ils gagneront ... à être connus.

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R
Quand je vois tous les enjeux et que j'entraperçois les conséquences d'une telle crise, j'ai un peu la trouille comme dirait l'autre...<br /> On n'est vraiment pas sorti de l'auberge !
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P
<br /> En sortirons-nous?<br /> <br /> <br />
N
Dans le cas des bourses, je resterai donc méconnues. Je n'ai pas d'action et je je regrette beaucoup... Quoique, je trouve le bas de laine d'Augistine 108 ans, beaucoup plus sur<br /> Bisous, mon ami Huron<br /> Nettoue
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P
<br /> Salut!<br /> <br /> <br />
P
Non...
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P
<br /> Ceux qui ont pris la mesure de la crise ne distillent leurs connaissance que peu à peu. Pour nous habituer en douceur. Le plus grave, c'est que leur plan de relance peut marcher et que la machine<br /> reparte pour quelques années ... car on va rouvrir le robinet du crédit. Mais le crédit malsain, c'est comme la drogue: on en est arrivé au moment où le toxico en manque est prêt à risquer la mort<br /> par overdose.<br /> <br /> <br />
P
Je me pose la même question que vous. Et la réponse me fait trembler...
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P
<br /> Vous ne tremblez pas assez. Les petits milliards sarkoziens ne sont rien à côté de ceux que le reste du monde "développé" (développé! Là, on peut rire) va devoir à la Chine, à l'Arabie saoudite,<br /> aux autres monarchies pétrolières etc. Milliards gagés sur la croissance d'économies à bout de souffle et qui risquent (ce n'est pas encore certain) de ne pouvoir les rembourser. Qu'arrivera-t-il<br /> si la Chine et les autres puissances créancières qui commencent elles-aussi à plonger dans la crise structurelle qui affecte le monde entier, demandent la contrepartie de laurs bons du trésor? Ils<br /> auraient théoriquement le droit de "saisir" les pays débiteurs. Ou alors ... la guerre? Amusant, non?<br /> <br /> <br />
O
Je vais commencer à faire économies.<br /> Dr WO
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P
<br /> Claquez tout, c'est les autres qui vont payer ... après. Ou plutôt qui n'auront pas les moyens de payer. Dans dix ans que sera le monde? C'est la curiosité qui me fait tenir.<br /> <br /> <br />