On a dénoncé les crédits à risques comme étant à l'origine de la crise économique qui, en appauvrissant encore les pauvres, ont fini par appauvrir les riches trop gloutons qui ne pouvaient récupérer leurs créances.
Pourtant les requins du crédit revolving continuent à sévir. en tentant d'arracher leurs dernières plumes aux pigeons qu'ils tentent d'attraper. Pire: en prenant leur part des celles qui n'ont pas encore poussé.
19,95% d'intérêt (en tout petits caractères) sur une avance permanente, c'est presque un cinquième de leur pouvoir d'achat qui s'envole avant même que le salaire du mois suivant ne soit versé.
Mais la voracité de ces philanthropes a des limites: leur taux d'intérêt aurait pu être 19,99%!
0,04% qui font toute la différence: 0,04% de décence!
Ce n'est pas beaucoup mais ça laisse encore un peu d'espoir dans la nature humaine.