Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
J'ai appris ce matin sur France-Inter de la bouche d'un journaliste sportif, la raison de la vitesse de course de Christophe Lemaître: il a un "particularisme" dans les chevilles.
Espérons pour lui qu'elles ne réclameront pas leur indépendance ou -pire encore- qu'elles ne feront pas sécession.