Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Le dialogue inter-religieux est à la mode.
C'est ce que prônent tous les modérés de toutes les religions.
Mais l'idée pèche dès le départ: si on est modéré et tolérant, on n'a pas besoin d'en faire tout un fromage et on applique le principe "Vivre et laisser vivre", principe que refusent les fondamentalistes, les intégristes, les illuminés et les excités de tous bords qui sont convaincus d'être les propriétaires de l'unique vérité.
Et puis, si on assied autour d'une table les représentants de toutes les religions, pourquoi ne donne-t-on jamais la parole aux mécréants? Ceux qui ne croient ni à Dieu, ni à Diable, ni au Père Noël, ni à la petite souris et qui ricanent quand je prie Ganesh pour qu'il caresse notre président de sa trompe?
Ceux que les "croyants" accusent (je l'ai lu sur un blog) d'appartenir à "la secte des sceptiques"? Oui! Ceux-là!