Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Parmi les victimes des "coups de rabot" destinés à économiser quarante milliards d'euros et à réduire de deux points le déficit français pour le ramener au double (!) des trois pour cent autorisés par le pacte de stabilité, figurent quelques sous qui devaient être dépensés par le ministre de la relance (vous aviez oublié qu'on avait un ministre de la relance?).
Voilà un bonhomme qui va avoir de moins en moins de boulot.
Sa rémunération va-t-elle, comme ce serait logique, elle aussi, être amputée?
Arrêtez de rigoler! C'est sérieux.