Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
La vente par la France de sous-marins au Pakistan AURAIT donné lieu à des versements de commissions à de hauts dignitaires pakistanais, lesquels AURAIENT accepté de verser des rétro-commisssions aux généreux donateurs français. Ces rétro-commissions AURAIENT transité par une structure (Heine) montée pour la circonstance par le directeur de campagne d'un candidat aux présidentielles de 1995 (pas de noms!). Ce candidat n'ayant pas été élu, son concurrent (grand honnête homme ennemi acharné de tout financement occulte) AURAIT, dès son accession au pouvoir, décidé, pour fermer le robinet des rétro-commissions et couper les vivres à son ami de trente ans devenu son ennemi de deux ans, d'interrompre le versement des commissions.
A Karachi, un attentat contre le personnel français de la Direction des Constructions Navales a fait quatorze morts. Après avoir cru voir derrière ce attentat la main des islamistes d'Al-Qaïda, les enquêteurs SOUPÇONNERAIENT une vengeance de militaires pakistanais qui ne recevaient plus les pots-de-vin promis.
Les proches des victimes se sont portés parties civiles pour exiger la vérité sur cette sombre affaire dans laquelle SERAIENT mouillées des personnalités de tout premier plan dont ils n'hésitent pas (ce que je me refuse à faire) à citer les noms.
En revanche, ceux que l'on soupçonne d'être les commanditaires de l'attentat et les premiers coupables: les militaires pakistanais, ne SERAIENT pour l'instant pas inquiétés.
Aux dernières nouvelles, Nicolas Sarkozy ne SERAIT pour rien dans cette sombre et dramatique affaire.
Il SERAIT même président de la République Française.