Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Après le pitoyable spectacle offert par les commentateurs des récentes élections, qu'ils soient journalistes ou politiciens, je ressens un impérieux besoin de changer d'air.
Et ça tombe bien, j'avais prévu de m'absenter jusqu'au 10 avril.
En attendant, bloguez. J'aurai peut-être la possibilité de vous lire.