Modération géante.

<br /> <br /> Les manifs (de la Bastille à la République) sont encore plus géantes aussi conviviales. Sauf qu'on n'est pas censé boire.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Ils vont pouvoir forcer sur la modération!<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Ne pas confondre déguster et dégueuler;<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> On essaie de persuader les fêtards du contraire. le lobby des alcooliers a créé une fondation pour inciter les jeunes à boire avec modération ... même ceux qui ne boivent pas.<br /> <br /> <br /> <br />

<br /> <br /> Bonne question. Le principe de précaution s'applique lorsque les conséquences sont encore inconnues et qu'on peut supposer qu'elles seront très graves pour beaucoup de gens. Si les rayonnements<br /> électromagnétiques risquent (sans qu'on en soit certain) d'être extrêmement dangereux pour un très grand nombre de personnes non directement concernées, on peut appliquer le principe de<br /> précaution. En revanche, on sait que travailler en haut d'un pylone représente un danger pour l'ouvrier qui répare un câble et éventuellement pour ceux qui se trouvent en dessous. On applique<br /> alors le principe de vigilance. Principe que l'on inscrit dans le code de la route lorsqu'il s'agit de circulation automobile (sont alors concernés le conducteur, ses passagers et les autres<br /> usagers de la route.<br /> <br /> <br /> L'industrie nucléaire présente un risque d'accident (Tchernobyl, Three Miles Island) catastrophique qui devrait imposer le principe de précaution. Mais la production d'électricité est une<br /> priorité qui fait préférer un bénéfice immédiat à une sécurité future. La probabilité d'accident nucléaire est non-nulle, ce qui signifie qu'on ne sait pas quand arrivera l'accident mais on peut<br /> être certain qu'il se produira. Il faut donc se contenter du principe de vigilance. Faute de mieux.<br /> <br /> <br /> <br />