Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner.
Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas.
Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
Entre hier midi et ce matin, la poule qui couvait sur la tonne à fuel (quelle drôle d'idée!) a mené son projet à terme. Comme elle manifestait l'intention de quitter son nid, nous l'avons descendue et placée sous une mue dans la vieille volière avec ses trois premiers poussins.
Elle avait abandonné les deux derniers éclos qui n'étaient pas encore secs et n'étaient pas encore assez solides sur leurs pattes pour aller se réchauffer sous ses ailes. Il a fallu les mettre dans un grand carton sous une lampe à infra-rouges en espérant qu'elle les acceptera lorsqu'ils seront plus vaillants et qu'il n'y aura pas une trop grande différence de développement avec les premiers nés.
Sinon, nous devrons élever nous-même les petits tardillons jusqu'à ce qu'ils puissent se débrouiller tout seuls et vivre en liberté comme les adultes. Quelques semaines de puériculture en perspective! L'avantage, c'est qu'ils seront beaucoup plus familiers que les autres. A leurs yeux, nous serons leurs parents.
D'une certaine manière on pourrait dire "heureux tardillons" parce qu'ils seront bien chouchoutés par les parents adoptifs... des petits chouchous... quoi...<br />
c'est trop joli un poussin avec son regard tout étonné...
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Toujours voir le bon côté des choses, telle est ma devise!<br />
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N
Nettoue
24/05/2009 06:23
A Besancon, dans ma jeunesse, j'avais des poules; Et je mettais les futures mères dans la cage du bas d'un ancien clapier. (Les lapins je les laissais en liberté dans un enclos avec de quoi se mettre à l'abri.) Mon grand plaisir était à partir du 20ème jours de guetter l'instant de l'éclosion. Elle survenait le 21ème, tu le sais, mais quel bonheur rare...<br />
Prends bien soin des petits en couveuse, cher Huron<br />
Bises d'un dimanche empli de soleil<br />
Nettoue