Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 19:32

Après la phrase de Marine Le Pen qui a agité les médias et le monde politique, le recteur de la grande mosquée de Paris déclare: " ...en toute sérénité, en tout esprit national et citoyen, ...il faut qu'on donne aux musulmans le moyen de pratiquer leur culte d'une façon décente".

"Que l'on donne".

Rappel de la loi de séparation de l'Eglise et de l'Etat dont on a (trop peu; on n'a pas osé?) célébré l'anniversaire il y a trois jours: "La République ne reconnaît, ne salarie ni ne subventionne aucun culte".

Partager cet article
Repost0
12 décembre 2010 7 12 /12 /décembre /2010 08:26

La conférence de Cancun, compte tenu des objectifs qu'elle s'était fixés: un accord sur la réduction des émissions de gaz à effet de serre, sur la lutte contre la déforestation et sur la protection de la bio-diversité est un échec.

Echaudés par les conséquences sur l'opinion mondiale de l'aveu d'échec  de la conférence de Copenhague et les divulgations de WikiLeaks sur les accords discrets entre certains pays industrialisés pour saboter cette conférence, la plupart des participants s'entendent pour exprimer leur satisfaction, satisfaction mesurée certes, mais satisfaction tout de même à l'image de notre ministre de l'écologie qui déclare que cet accord "lance une vraie dynamique en vue de la conférence de Durban l'année prochaine".

On croirait entendre cette boutade (de Philippe Meyer?) sur ces réunions qui se multiplient dans les entreprises et dont le seul résultat positif est l'accord sur la date de la prochaine réunion.

Le Monde lui-même s'y met et voit dans le résultat de Cancun: "une timide avancée".

Quant aux écolos, ils font le grand écart en admettant que "le climat n'a pas été sauvé" mais que "les négociations onusiennes ont prouvé qu'elles pouvaient aboutir à des résultats concrets". Comme Cancun avait pour objectif  premier de sauver le climat, on est en droit de s'interroger sur ces "résultats concrets".

Le PS est lui aussi adepte du contorsionnisme: il estime que Cancun est une  victoire du "multilatéralisme" tout en jugeant l'accord "décevant".

Heureusement certains commentateurs remettent les choses à leur place.

L'un d'eux a relevé cette phrase qu'il dit être digne de Fernand Raynaud: "l'urgence de définir des objectifs à long terme". Un autre conclut "les orangs-outan ont des soucis à se faire".

En revanche, pas de souci pour l'espèce humaine: elle est inconsciente!

PS: Tapez "Green the film" sur Google. C'est gratuit. Et regardez!

Partager cet article
Repost0
11 décembre 2010 6 11 /12 /décembre /2010 18:57

Marine Le Pen s'est élevée contre les "prières de rue" qui dans certains quartiers bloquent les rues tous les vendredis en les comparant à une "occupation" sans "blindés", ni "soldats" (référence à l'occupation allemande).

Comparaison n'est pas raison. C'est une expression très maladroite d'une vérité pourtant dérangeante (demandez aux riverains) sur laquelle le politiquement correct passe pudiquement.

La preuve: les médias relèvent la comparaison mais non pas le fait qu'elle dénonce.

Le PS a réagi. Marine Aubry s'est dite "choquée" par des propos qui renvoient "aux marges de notre République des hommes et des femmes qui ont toute leur place et qui ont le droit de croire comme on a le droit de ne pas croire ou d'avoir une autre religion".

C'est ce qui s'appelle "botter en touche". Serait-ce un sujet délicat pour le PS?

En déplaçant le débat sur le terrain de la laïcité ou de la tolérance elle refuse de prendre parti.

De plus, "toute leur place" c'est une formulation aussi malheureuse que celle de Marine!

 

 

Partager cet article
Repost0
10 décembre 2010 5 10 /12 /décembre /2010 13:28

Elle n'en manque pas une! A propos des chutes de neige qui ont coincé sur les routes les automobilistes d'Île-de-France, elle s'est attaqué à Fillon qui -c'est vrai- a dit une connerie en faisant porter sur les services de la météo la responsabilité de la pagaille.

Donc Ségo reproche à Fillon de "N'être même pas revenu de Moscou pour s'occuper des Français qui souffrent". Elle ajoute: "c'est le contraire de l'idée que je me fais de la responsabilité politique

Si son idée de "la responsabilité politique" consiste à faire rentrer d'urgence le premier ministre en voyage officiel à l'étranger pour envoyer des saleuses sur les routes à chaque chute de neige, on se dit que le concours d'entrée à l'ENA devrait comporter un test de QI.

Alerte Orange, ça veut quand même dire quelque chose! Nom de Dieu! Mais certains ne veulent pas seulement qu'on leur dise qu'il va neiger et que ça va glisser, ils veulent qu'on leur dise quoi faire (éventuellement rester chez eux).

Bientôt, chaque alerte orange devra être assortie de conseils de bon sens:

- en cas de froid, couvrez-vous,

- si l'inondation menace, ne garez pas votre voiture sur les quais,

- quand il fait chaud, restez à l'ombre et buvez frais (Ah, non! Celle-là, depuis la canicule, on nous la fait tous les ans).

Ségo continue encore de nous faire rire. Elle risque de nous lasser: il ne faut pas abuser du comique de répétition.

 

 

 

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 17:52

Hier, nous avons eu une pensée émue en souvenir de John Lennon qui nous a quitté il y a trente ans.

oooooooooooo

A titre personnel, à l'occasion de la fête nationale corse, j'ai eu une pensée émue en souvenir d'une liberté abolie par les armes, il y a plus de deux cents ans.

oooooooooooo

Et maintenant je vous encourage à avoir une pensée émue en souvenir de la démocratie européenne qu'on nous avait promise: une pétition organisée par GreenPeace réunissant plus d'un million de signatures a été présentée à la Commission Européenne.

Elle demande un arrêt des autorisations d'OGM et la création d'une commission scientifique chargée d'étudier l'impact des organismes génétiquement modifiés. Une commission indépendante de de Bayer, Monsanto et autres copains de Barroso et Dalli.

C'est la première fois qu'il est fait usage d'une nouvelle possibilité créée par le traité de Lisbonne permettant à un million ou plus de citoyens européens de demander à l'Union européenne de modifier sa législation sur un sujet donné.

Barroso a refusé de recevoir cette pétition au motif que cette procédure n'entrera en vigueur que fin 2011 (pourquoi ce délai alors que d'autres dispositions sont déjà appliquées? Bonne question!). A ce moment, la pétition sera encore valable; du moins, on peut l'espérer.

D'ici là, il reste un an à la Commission pour essayer de faire plaisir au lobbyistes de l'agro-chimie.

oooooooooooo

Enfin (merci à Juntos de me l'avoir rappelé), en ce 9 décembre, anniversaire de la loi de 1905, je vous encourage à avoir une pensée émue pour la laïcité.

 

 

Partager cet article
Repost0
9 décembre 2010 4 09 /12 /décembre /2010 15:31

Ça ne s'arrange pas pour l'Europe dont la situation est "préoccupante" comme vient de le déclarer DSK! Je parle du DSK patron du FMI qui a le droit d'être pessimiste et pas du DSK candidat virtuel de la gauche aux prochaine présidentielles. Dans ce rôle, il sera, je vous en fiche mon billet, beaucoup plus optimiste. Au FMI, il fait un constat, aux présidentielles, il fera des promesses. Vous saisissez la nuance!.

Donc, l'Europe des eurocrates est bien malade. Dernier épisode: l'agence de notation Fitch vient d'abaisser d'un coup la note de l'Irlande de trois crans non seulement pour rendre compte de la situation économique désastreuse de ce pays mais aussi pour estimer ses chances de sortir de la crise dans laquelle elle est plongée, celles de redresser ses finances et pour avertir ceux qui lui prêtent de l'argent des risques qu'ils courent de ne pas revoir leur sous.

Vous me direz: "Ce sont eux qui ont fait des erreurs. Qu'ils se débrouillent, on a assez de problèmes en France". Et vous aurez tort. Pour que l'euro et les pays qui l'ont adopté comme monnaie ne sombre pas, il faut combler le trou.

Pour éviter la faillite, l'Irlande a besoin d'argent. Le plan d'aide mis en place par le FMI et l'UE se monte déjà à 85 milliards d'euros. Inutile de vous rappeler que la France est un des contributeurs du FMI et que L'UE, c'est nous (moins la Grèce qu'on paie et qui ne paie pas et -bien sûr- l'Irlande).

Nous voici donc avec une Irlande qui, malgré l'aide qu'on lui apporte, voit sa note sévèrement dégradée. Et pourquoi donc? A cause "des coûts budgétaires additionnels nécessaires au soutien et à la restructuration du secteur bancaire", dit-on chez Fitch.

Rien de changé: on soutient les banques une nouvelle fois. Cette fois-ci, ce sont les banques irlandaises; en attendant d'avoir à soutenir l'Espagne, le Portugal, peut-être l'Italie et -comme cela s'entend- leurs banques. Le soutien à leurs banquiers sera un dommage collatéral.

A ce moment, l'UE devra encore intervenir. L'UE moins la Grèce, l'Irlande, le Portugal, l'Espagne et l'Italie. A chaque étape, il y aura de plus en plus de pays à aider et de moins en moins de pays en position de le faire. Devinez qui sera le dernier à sombrer, incapable de financer tous les autres. Pauvre Angela!

Tout se passe comme la crise était un monstre insatiable que nous sommes condamnés à nourrir en nous privant de plus en plus pour éviter qu'il ne nous dévore. Et qui, disent les pessimistes, finira quand même par nous dévorer.


 

Partager cet article
Repost0
8 décembre 2010 3 08 /12 /décembre /2010 18:30

Entendu aujourd'hui à "C dans l'air": "Plus personne ne croit que le système va nous en sortir". Bon.

Mais la Bourse fait plus que se maintenir et le CAC40 est très nettement au-dessus de son niveau d'il y a un an.

Bizarre, vous ne trouvez pas?

Est-ce une sorte de compensation à la fragilité de l'euro? Si sa valeur baisse, on peut imaginer qu'il en faut plus pour rester la contrepartie de la valeur réelle des entreprises.

Est-ce parce que les boursicoteurs comme les investisseurs pensent que la crise actuelle s'apparente à une gigantesque purge du système économique (et tant pis pour les victimes!) et que, une fois la crise passée, tout repartira "comme avant" avec les survivants?

Je n'ai pas la réponse.

Je n'ai même pas toutes les questions.

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 18:40

Selon Frits Bolkenstein, les Juifs des Pays-Bas risquent d'être victimes d'un antisémitisme qui serait en expansion parmi les jeunes d'origine marocaine. Il les encourage à quitter le pays.

Bolkenstein, c'est celui qui a provoqué la polémique au sujet de sa directive dite "du plombier polonais". Mais ici, ça n'a rien à voir.

"Les juifs conscients doivent réaliser qu'il n'y a plus d'avenir aux Pays-Bas", a-t-il affirmé.

Ce pessimisme n'est pas partagé par les formations politiques néerlandaises dont la plupart a appelé à la "fermeté"  face à la montée de l'antisémitisme dans leur pays et en font aujourd'hui le sujet d'un débat au parlement.

"Fermété" au risque de tomber dans l'islamophobie comme Gerts Wilders qui affirme: "Bolkestein se trompe complètement : ce ne sont pas les Juifs mais les Marocains coupables d'antisémitisme qui doivent quitter le pays" ?

Partager cet article
Repost0
7 décembre 2010 2 07 /12 /décembre /2010 17:38

Cet article est écrit en trop petits caractères, il est trop long, il n'est pas rigolo. Tant pis!


Aujourd'hui 7 décembre, c'est le jour proposé par Eric Cantona pour que nous retirions notre argent de la banque afin que "le système s'écroule".

Il est étonnant de voir la levée de boucliers qu'a suscitée contre elle l'idée -évidemment provocatrice, quoique ...- d'Eric Cantona. Il est aussi étonnant de constater que les arguments qu'on lui oppose sont souvent contradictoires et que ceux qui les avancent tendent le dos pour se faire battre.

Le système bancaire et financier repose en effet sur une fiction qui, tant qu'elle est acceptée, ne met pas en cause sa solidité.
Quelle est cette fiction? C'est celle de la "liquidité" des sommes que les particuliers possèdent sur leur compte. Celui-ci est une version plus élaborée, plus pratique et plus sûre de la tirelire des enfants ou des billets qu'on a placés sous la pile de draps. Mais cela suppose aussi que cet argent, confié à la garde du banquier, est immédiatement disponible, autant que celui qui est dans tirelire ou sous la pile de draps.

C'est vrai tant que cet argent reste dans ses coffres ou dans ses livres. Ce serait vrai car, en réalité, cet argent, le banquier ne le conserve pas à la disposition des déposants, il le fait "travailler" en partant du principe que, puisque tout le monde ne retire pas son argent, ne tire des chèques ou n'utilise sa carte bancaire au même moment, les rentrées des uns compenseront les dépenses des autres. Le banquier prête votre argent aux entreprise qui veulent s'équiper, aux ménages qui veulent acquérir un logement ou aux particuliers qui veulent changer de voiture. Certes, il a des "fonds propres", de l'argent qui lui appartient et qui sert à amortir les fluctuations de la somme globale de ses dépôts mais surtout à garantir sa solvabilité si, pour une raison ou pour une autre, beaucoup de ses clients se précipitaient en même temps devant ses guichets pour retirer l'argent qu'ils lui ont confié. Beaucoup mais pas trop.

"Confié". Joli mot. Les clients des banques leur ont fait confiance. Et la crise récente (et actuelle, car ce n'est pas fini!) a prouvé que cette confiance était mal placée. Les banques ont non seulement prêté au-delà du raisonnable (les sub-primes, par exemple) et, plus grave encore, spéculé (mot poli pour dire parier) avec de l'argent qu'elle n'avaient déjà plus (leurs créances toxiques). Le système devenait instable contraint à ne pas interrompre la circulation de capitaux de plus en plus virtuels puisqu'ils ne correspondaient pas à des richesses réelles. Le moment est arrivé où cette fuite en avant les amenait au bord de la faillite.

Et ce sont les états qui ont dû les renflouer. Les états, c'est à dire les contribuables qui sont le plus souvent aussi les clients des banques.Le serpent se mord la queue, pire: il la dévore. Ça ne peut durer longtemps.

La fuite en avant s'est donc relancée. Les états ont soutenu les banques agonisantes en garantissant leurs créances toxiques. Ce sont donc maintenant les états qui sont fragilisés. Et ce sont leurs obligations qui se pourrissent. Il devient par conséquent nécessaire de soutenir les états. Voici la BCE qui achète à tour de bras ces obligations par tranches de cent millions d'euros en injectant des liquidités en échange. On n'a fait que déplacer le problème: c'est maintenant la monnaie européenne qui devient fragile. Outre-atlantique, on assiste au même phénomène.

Les "marchés" eux-mêmes restent sceptiques sur la pérennité du système car après avoir sauvé les banques du secteur privé, puis les banques centrales, on en arrive à essaye de sauver les états (Grèce, Irlande et bientôt le Portugal, l'Espagne?)

Dernière étape: sauver l'euro. S'il était si solide que ça, on n'aurait pas besoin de tenter de le sauver. Enverrait-on une bouée de sauvetage à quelqu'un qui prend un bain de pieds?

Il semble que le système bancaire et financier comme ceux qui le soutiennent et en profitent pour asseoir leur pouvoir (les partisans du libéralisme débridé) n'ont pas compris la leçon et que, malgré les promesses de réformes en profondeur, rien n'ait vraiment changé. Et surtout pas ceux qu'on trouve encore aux commandes de l'économie et qui ont pourtant fait la preuve sinon de leur malhonnêteté, au moins de leur incompétence: les banquiers qui spéculaient contre leurs propres clients (Goldman-Sachs) ou les ministres des Finances (ohé! Christine!) qui imperturbablement publient des prévisions toujours démenties par la réalité.

Arrive Eric Cantona qui met les pieds dans le plat en disant que si vingt millions de personnes vont en même temps retirer leur argent, le système s'écroule.

Haro sur Cantona! Ce qu'il propose est dérisoire et irresponsable, entend-on.

Dérisoire parce que, nous dit-on, il n'y connaît rien et que ce n'est pas la fermeture de quelques comptes de particuliers qui peut mettre sur le flanc notre système bancaire ("que le monde entier nous envie").

Irresponsable parce que, nous dit-on aussi, la fermeture des mêmes comptes porterait un coup fatal à l'économie.

Dérisoire ou irresponsable? Faudrait savoir!

Si on en juge par l'affollement qu'il a suscité, on peut se dire qu'il a mis le doigt là où ça fait mal à certains.

Tout se tient: Assange et son WikiLeaks comme Cantona et son appel ont touché au domaine réservé de ceux qui tiennent les états hors de portée de ceux qui se croient encore des citoyens et non pas des sujets.

Les rois sont nus!

Et bonjour chez vous.

 

Désolé! Je n'ai pas eu le temps de faire court.

 

 

Partager cet article
Repost0
5 décembre 2010 7 05 /12 /décembre /2010 12:55

Le Monde, comme d'autres organes d'information, utilise et commente les informations communiquées par WikiLeaks. Mais les censeurs veillent: il ne serait pas bon, d'après eux, que les citoyens sachent comment va le monde dans lequel ils vivent et qu'ils en sachent autant que ceux qui les gouvernent.

C'est pourquoi, à la suite de ses articles, Le Monde.fr prévient: "A la suite des attaques informatiques subies par WikiLeaks et du refus de certains hébergeurs et de certains pays d’accueillir le site, il est difficile de pointer vers les documents utilisés pour la rédaction des articles. Nous faisons notre possible pour rétablir les liens, au moins provisoirement."

Je rappelle aux censeurs que "l'Etat, c'est nous".

Partager cet article
Repost0

Présentation

  • : Le Huron, Pangloss et compagnie
  • : Les nouvelles qu'on nous donne, ce qu'on peut en faire et en penser sans laisser passer une occasion de ricaner. Et la vie quotidienne, ses hauts et ses bas. Pas vraiment politiquement correct et rarement consensuel.
  • Contact

Regardons les choses en face:

Au pays des aveugles, les borgnes sont rois.
Ceux qui ont leurs deux yeux sont regardés de travers.

Prudence!

"Si tu risques
de croiser quelqu'un
qui veut faire ton bonheur,
change de trottoir!"
(Henri Jeanson)

Métaphore maritime

Certes, nous sommes embarqués sur le Titanic mais il n'y a pas de quoi s'inquiéter: en cas de problème on nous transfèrera sur le radeau de la Méduse.

Si vous aimez ça

Copyright? Bof! Si ce que j'écris vous plaît, vous pouvez le recopier. Si vous êtes gentils, vous pourrez dire que j'en suis l'auteur. Sinon, je ne vous ferai pas un procès.