DSK est à Lille où il va devoir s'expliquer sur l'affaire du Carlton.
Ce qu'on lui reproche: complicité de proxénétisme et recel d'abus de biens sociaux.
Il ne savait pas, fait-il dire par ses avocats (qui n'oseraient pas mentir, même pour de l'argent), que les femmes qu'on lui amenait étaient des prostituées et donc ne se posait pas la question de savoir qui payait ses partouzes, les billets d'avion et les chambres d'hôtel.
Il ne s'étonnait pas que toutes les "secrétaires" d'Effiage aient le printemps dans leur culotte et ne sachent pas taper à la machine.
Eh bien, moi je le crois!
Pour un type beau comme un dieu, musclé comme un calendrier de rugby et plus jeune qu'Alain Delon (jeune) sans parler de sa femme qui jongle avec les millions de dollars, il est impossible d'imaginer que ses succès féminins soient dûs à autre chose que son charme irrésistible.
Tout ça était payé par la filiale d'un groupe de BTP? Et alors? Rien que de très habituel! On sait bien que les bétonneurs aiment bien les politiques et que c'est à fonds perdus qu'ils leur offrent des petits cadeaux.
D'ailleurs, Martine Aubry, maire de Lille et première secrétaire du PS, n'était pas au courant des déplacements de DSK à Lille, de ce qui se passait dans le plus grand hôtel de sa ville et ignorait même que DSK était à l'époque le présidentiable socialiste favori des sondages.
C'est pas une preuve, ça?