"Je demande le respect par rapport à une mère de famille dont les enfants entendent ce qui se dit ...", répond Ségolène à ses détracteurs. Passons sur le charabia "par rapport à" en remarquant que le niveau a baissé même à l'ENA et étonnons-nous de la réaction de cette "mère de famille" qui croit être la seule à avoir des enfants.
Un psychiatre nous dirait quel nom porte ce genre de névrose.
A moins que ce ne soit un petit rappel sur le fait que ses enfants sont aussi ceux de François Hollande.
Dans ce cas il faudra plaindre ces enfants qui sont utilisés comme des armes par les couples qui se séparent et qui ne sont pas en âge de comprendre (les pauvres petits!) pourquoi la nouvelle femme de Papa fait des misères à Maman: Thomas (né en 1984), avocat, Clémence (née en 1985), interne en médecine, Julien (né en 1987), cinéaste, Flora (née en 1992), étudiante en psychologie.)
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Il y a des socialistes qui pensent que Valérie Tweetweiler, en soutenant Olivier Falorni contre Ségolène Royal (soutenue par François Hollande en contradiction d'ailleurs avec sa promesse de ne pas se mêler de la campagne électorale mais ça, c'était avant qu'il soit élu), a fait une bêtise en voulant faire une vacherie. Ces socialistes craignent sans doute que la compagne du président n'ait trop d'influence sur son compagnon, ce qui réduirait d'autant la leur.
Et puis il y a Marisol Touraine qui s'essaie à la langue de bois.
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"Au secours! Ne nous sauvez pas!". C'est ainsi que Pétillon résume dans le Canard enchaîné l'attitude du gouvernement espagnol face à la crise financière qui le frappe. Ce n'a pas empêché l'Europe d'allouer une aide de cent milliards à l'Espagne pour recapitaliser ses banques qui ont trop investi dans la bulle immobilière.
"Cent milliards qui ne seront jamais retournés (sic)" a affirmé sur Arte en rigolant très fort une dame espagnole qui semblait au courant de la situation de son pays.
Aussi au courant que l'agence de notation Moody's qui a abaissé de deux nouveaux crans la note de l'Espagne.
Mario Monti imite son collègue espagnol en affirmant que l'Italie n'a pas non plus besoin d'aide. Pas de quoi s'inquiéter? Mon oeil!
La preuve: j'ai entendu ce matin sur BFM que l'Italie empruntait à 6,5% de l'argent qu'elle prêtait généreusement à 3,5% à l'Espagne.
En bonne logique, on devrait apprendre que l'Italie n'accepte qu'à contre-coeur l'aide que l'Europe va lui fournir.
Vous n'avez pas l'impression que l'Europe marche sur la tête?
Pour l'Allemagne, ça va encore mais pour combien de temps? Elle emprunte encore à 1,5% mais on m'a dit, toujours sur BFM, que certains signes laissent penser que, pour elle aussi, les taux vont remonter.
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François Hollande a déclaré sur la télé grecque que du résultat des élections dépendait l'avenir de la Grèce. Si elle vote "mal", certains pays envisageraient de la faire sortir de la zone euro. Ce qui serait une catastrophe.
En revanche, si elle vote "bien", elle restera dans la zone euro et l'Europe pourra continuer à l'aider.
Ce qui serait aussi une catastrophe.
En attendant, le Crédit Agricole étudie sérieusement l'abandon pur et simple de sa filiale grecque.
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Le gouvernement étudie une aide à Renault. Pour qui a entendu parler de délocalisations, connaît le salaire de Carlos Ghosn et les sommes pétardesques que les constructeurs gaspillent en frais de commercialisation et notamment en publicité imbécile, on trouve que Renault ne manque pas d'air.
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Et pendant ce temps, à Fukushima ...
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Et bonjour chez vous!