Un bonhomme condamné à une assignation à résidence avec port d'un bracelet électronique après de graves délits routiers s'est aperçu que cette peine était assortie de la cohabitation quotidienne et permanente avec sa compagne.
Au bout de quelques jours, il a préféré couper son bracelet et a appelé les gendarmes pour qu'on l'emmène en prison solution à ses yeux préférable. On lui a donc donné deux mois fermes. Gageons qu'il a dû trouver la peine trop légère.
Comme quoi, une bague au doigt assortie d'un bracelet à la cheville peut ressembler plus à une corde au cou qu'à un fil à la patte.
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