A Athènes, les manifestants crient "FMI go home" pour protester contre le plan de rigueur qu'exigent les prêteurs en échange de leur contribution au sauvetage de la Grèce. Les droits acquis, c'est sacré, comprend-on. Ce qu'on peut traduire par: "Même s'il n'y en a pas pour tout le monde, tant pis pour les autres".
Heureusement que l'économie américaine ne va pas si fort que ça, sinon l'euro ne vaudrait pas un kopeck par rapport au dollar.