Bernard Squrcini, patron de la DCRI "minimise" comme un fou dans une interview au Monde, il a notamment déclaré: "S’il est bien allé s’entraîner au Waziristan (zone tribale du Pakistan), il s’agissait d’un «entraînement particulier» menée par «une seule personne» et non pas d’un des camps d’endoctrinement de la région".
Mohamed Merah aurait eu droit à un professeur particulier, une sorte de coach ou de gourou, quasiment un précepteur.
Ce serait donc moins grave? Et ne justifierait pas une action du service que dirige Sqarcini?
Un Français qui va s'entraîner au maniement des armes auprès de gens que la France combat ne risque donc rien à son retour en France?
Un raisonnement bien "particulier", lui aussi.