Demain, après-demain ou la semaine prochaine, Kobane tombera aux mains des djihadistes de l'Etat Islamique. Et si ce n'est pas le cas, c'est ailleurs que se livrera la bataille pour la prise d'une nouvelle ville ou l'investissement d'un nouveau territoire.
Mais il n'y a pas de quoi s'affoler. Prenons exemple sur notre gouvernement et nos médias pour qui l'Etat Islamique n'est qu'un "groupe".
Ce n'est pas bien dangereux, un "groupe". C'est tellement petit qu'on lui pardonne de n'être pas mignon.
Les plus turbulents, ce sont ses groupies.