Non je ne vous parlerai pas du bouquin de Valérie Trierweiler.
On en parle trop et il n'ajoute rien à l'opinion que j'avais d'elle et de Pépère.
Qui se ressemble s'assemble.
Tout ça n'est que bulles qui crèvent à la surface d'un marigot.
Ce sera mon seul commentaire.
En revanche, je vous rappelle que l'OTAN continue de montrer ses muscles face à la Russie. Et, coïncidence, que le "O" d'OTAN est aussi l'initiale d'Obama.
Je vous signale aussi que le Royaume-Uni s'inquiète de voir que des citoyens britanniques ("britanniques" ha! ha! ha!) de plus en plus nombreux envisagent de partir rejoindre les djihadistes de l'Etat Islamique et que, s'il ne réussit pas à les empêcher de partir, il va essayer de les empêcher de revenir.
Mais sans trop d'illusion puisqu'il a décidé de faire monter au cran maximum le risque d'attentats terroristes sur son sol. Sans doute après que le chef de la police de Londres a annoncé que deux cent cinquante de ces djihadistes sont déjà revenus sur le territoire britannique.
N'oubliez pas que, malgré le numéro vert mis en place par la fine équipe qui nous gouverne, des citoyens français ("français" hi! hi! hi!) partent aussi pour le Moyen-Orient (et reviennent?).
Mais que personne de part et d'autre du Channel ne semble s'occuper vraiment des islamistes qui ne partent pas et des milliers de musulmans à la modération de plus en plus modérée.
Ce qui n'empêche pas le gouvernement britannique de signer la plus grosse commande de véhicules blindés (six cents) depuis des décennies. On ne sait jamais. Si on ne menace pas de s'en servir contre les Russes, on peut toujours faire semblant de vouloir les expédier en Irak ou plutôt -charité bien ordonnée- décider de les garder en Grande-Bretagne ... au cas où.
Et l'Inde d'acheter bientôt cent vingt-six avions de combat (des Rafale?). Pour s'en servir contre qui? Devinez!
Le roi d'Arabie saoudite a rajouté son grain de sel, sans doute vexé de trouver des musulmans encore plus fondamentalistes que lui:"Le terrorisme, actuellement, est le mal qui doit être combattu avec sagesse et célérité. Et si on le néglige, je suis sûr que dans un mois, il arrivera en Europe et un mois plus tard, en Amérique".
Mais David Cameron reste optimiste et rassure ses compatriotes: "Nous vaincrons finalement".
Moi, c'est ce "finalement" qui m'inquiète. Parce que pour l'instant, c'est bien mal parti et même très peu commencé. Alors, "finalement", c'est dans combien d'années?