On ne peut pas allumer sa télé sur une chaîne d'information en continu sans avoir droit à des images de la tournée promotionnelle de la Trierweiler en Angleterre, tournée qui ressemble fort à une volée de bois vert sur le postérieur rebondi de Pépère et même à un sale coup pour le prestige de la France à l'étranger, prestige déjà fortement atteint par la seule présence du bonhomme en question à l'Elysée.
On nous apprend aussi que le bouquin de Valérie est traduit en une vingtaine de langues. Ce qui laisse bien mal augurer de l'évolution du dit prestige dans un avenir proche.
Mais le bouquin se vend et va continuer de se vendre. Ce qui va faire rentrer un paquet de pognon dans les poches de l'ex.
Alors je me permets un conseil à Julie Gayet et à toutes les autres qui -si l'on en croit la Trierweiler- sont nombreuses: qu'elles prennent des notes, si possible qu'elles enregistrent et photographient.
Ça peut toujours servir et ça peut rapporter gros.
Un éditeur astucieux pourra faire un best-seller des souvenirs vinaigrés (mais surtout olé olé) de celles qui auront duré quelques semaines ou quelques mois.
Pour les autres, pour les coups d'un soir, d'un déplacement sur le terrain ou d'un voyage à l'étranger, on peut envisager un ouvrage collectif.