20 mai 2009
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La pollution galopante a eu pour conséquence une très forte réduction des populations de batraciens en France. En raison de sa perméabilité, la peau des batraciens absorbe plus facilement les polluants.
Certaines espèces courantes sont en voie de disparition.
Les colonies d'abeilles sont en péril elles aussi, décimées par les nouveaux pesticides.
Au XIXème siècle, dans les mines, des oiseaux en cage, en s'asphyxiant, avertissaient les mineurs que l'air devenait irrespirable. Ils avaient alors le temps -et la sagesse!- d'évacuer les galeries où se répandait un gaz toxique.
Mais nous, nous n'avons que faire des signaux d'alerte que nous lance la Nature. N'avons-nous pas un Ministre de l'Environnement qui s'occupe de nous et des politiciens de tous bords qui pensent à relancer la croissance avant les présidentielles de 2012?
Certaines espèces courantes sont en voie de disparition.
Les colonies d'abeilles sont en péril elles aussi, décimées par les nouveaux pesticides.
Au XIXème siècle, dans les mines, des oiseaux en cage, en s'asphyxiant, avertissaient les mineurs que l'air devenait irrespirable. Ils avaient alors le temps -et la sagesse!- d'évacuer les galeries où se répandait un gaz toxique.
Mais nous, nous n'avons que faire des signaux d'alerte que nous lance la Nature. N'avons-nous pas un Ministre de l'Environnement qui s'occupe de nous et des politiciens de tous bords qui pensent à relancer la croissance avant les présidentielles de 2012?