16 juillet 2008
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L'économie mondiale ne va pas bien, les bourses du monde s'effondrent, à la crise énergétique s'ajoutent la crise financière et ce qu'il est convenu d'appeler (pour n'affoler personne) la crise alimentaire.
Dans les pays riches, les pauvres ne trouvent plus à se nourrir (et encore!) que dans les poubelles; dans les pays pauvres, les riches investissent dans le traitement des déchets.
"Quand rit-on?", vous demandez-vous.
Quand vous vous rappelez les déclarations que des politiques et des économistes ont faites l'an dernier (gardez vos vieux journaux!).
Juste un exemple qui réjouira peut-être ceux qui ont placé leurs économies sur des actions du CAC 40, cette affirmation péremptoire d'un expert reconnu, invité à la radio et à la télé, chargé de cours dans une prestigieuse université, dirigeant d'une société d'investissement à qui, au début de cette année, on demandait son sentiment sur l'évolution de l'économie française "Le CAC 40 sera au-delà de 4600 points à la fin du premier semestre".
Dans les pays riches, les pauvres ne trouvent plus à se nourrir (et encore!) que dans les poubelles; dans les pays pauvres, les riches investissent dans le traitement des déchets.
"Quand rit-on?", vous demandez-vous.
Quand vous vous rappelez les déclarations que des politiques et des économistes ont faites l'an dernier (gardez vos vieux journaux!).
Juste un exemple qui réjouira peut-être ceux qui ont placé leurs économies sur des actions du CAC 40, cette affirmation péremptoire d'un expert reconnu, invité à la radio et à la télé, chargé de cours dans une prestigieuse université, dirigeant d'une société d'investissement à qui, au début de cette année, on demandait son sentiment sur l'évolution de l'économie française "Le CAC 40 sera au-delà de 4600 points à la fin du premier semestre".