9 juillet 2008
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Enfin! Le suspense n'était pas insoutenable, loin de là, mais on commençait quand même à trouver le temps long. Sarkozy, après avoir fait semblant d'hésiter et de poser des conditions (la reprise du dialogue avec le Dalaï-Lama) ira donc à Pékin manger son chapeau (avec des baguettes?), C'eût été dommage qu'il nous prive du spectacle.
Le dialogue avec le Dalaï-Lama n'est , bien sûr, pas repris. Les Chinois conserveront encore quelque temps leur place de premier dans le classement des nations les plus pollueuses et -cerise sur le gâteau ou pâté impérial sur le riz cantonais- l'ambassadeur de Chine en France, pour maintenir la pression, interdit formellement au petit Nicolas d'accueillir le Dalaï-Lama à l'Elysée lors de sa prochaine visite en France sous peine de devoir en supporter "les graves conséquences".
Tout ça au nom du "partenariat stratégique" que nous entretenons (paraît-il) avec la Chine, quelle que soit la signification mercantile et sarkozienne de cette mystérieuse expression.
En revanche, ni Gordon Brown ni Angela Merckel n'ont accepté d'aller assister à la cérémonie d'ouverture des J.O. tout en acceptant d'y déléguer Sarkozy qui ainsi s'y affichera et donc s'y ridiculisera plus en son nom qu'en celui de l'Union européenne.
Bonne occasion pour Ségolène de dire qu'elle n'y serait pas allée. Cette proclamation prend toute sa saveur quand on se remémore les bêtises qu'elle a elle même proférées lors de son voyage pré-électoral en ... Chine.
C'est le moment de commencer les répétitions de ce que nous devrons peut-être chanter pour accueillir notre président à son retour:
"Ah y fallait pas, y fallait pas qu'y aille
"Ah y fallait pas, y fallait pas y aller"
Le dialogue avec le Dalaï-Lama n'est , bien sûr, pas repris. Les Chinois conserveront encore quelque temps leur place de premier dans le classement des nations les plus pollueuses et -cerise sur le gâteau ou pâté impérial sur le riz cantonais- l'ambassadeur de Chine en France, pour maintenir la pression, interdit formellement au petit Nicolas d'accueillir le Dalaï-Lama à l'Elysée lors de sa prochaine visite en France sous peine de devoir en supporter "les graves conséquences".
Tout ça au nom du "partenariat stratégique" que nous entretenons (paraît-il) avec la Chine, quelle que soit la signification mercantile et sarkozienne de cette mystérieuse expression.
En revanche, ni Gordon Brown ni Angela Merckel n'ont accepté d'aller assister à la cérémonie d'ouverture des J.O. tout en acceptant d'y déléguer Sarkozy qui ainsi s'y affichera et donc s'y ridiculisera plus en son nom qu'en celui de l'Union européenne.
Bonne occasion pour Ségolène de dire qu'elle n'y serait pas allée. Cette proclamation prend toute sa saveur quand on se remémore les bêtises qu'elle a elle même proférées lors de son voyage pré-électoral en ... Chine.
C'est le moment de commencer les répétitions de ce que nous devrons peut-être chanter pour accueillir notre président à son retour:
"Ah y fallait pas, y fallait pas qu'y aille
"Ah y fallait pas, y fallait pas y aller"